Les Volturi sont-ils comme toi ? [PV Athenadora]

J'entrais là où j'avais rendez-vous avec une certaine Athenadora Volturi. J'avais entendu parler de ces vampires, mais c'était la première fois que je rencontrait l'une d'entre eux. C'était un honneur pour moi, cela signifiait que mes recherches avançaient. Donc j'avais hâte de la rencontrer, même si j'étais intimidée. Ce n'était pas comme Bree, ou Mal. Là, c'était Athenadora Volturi. Avant même de l'avoir vue, je sentais que cet endroit était leur.
Déjà parce que c'était en Italie, là où ils vivent. Ensuite, par toutes les personnes portant une cape noire à grande capuche. J'en ai déduis que c'était toutes les femmes et enfants des Volturi, et peut-être quelques serviteurs. C'était d'ailleurs fort probable, sauf si tous leurs serviteurs étaient des humains. Et enfin, on reconnaissait cet endroit comme étant le leur car tout était similaire à leur manoirs. Les murs, les bancs étaient en pierre ancienne.
J'avais observé autour moi rapidement, et je ne pensais pas être capable de la reconnaître si elle venait encapuchonnée. Je m'assis sur un banc et sortit mon carnet de dessins. Commençant à faire glisser la pointe de mon crayon à papier sur ma feuille, je recopiais ce qui m'entourait. Je voulais garder ce magnifique parc autre part que dans ma mémoire. C'était tellement beau ! Je terminais tout juste mon dessin quand on s'assit à côté de moi. Sans avoir besoin de vérifier, j'ai su que c'était Athenadora. Je me suis tournée vers elle :

Bonjour, je m'appelle Evie Gimhilde. Je suis vraiment enchantée de vous rencontrer !

Je tendit la main. Puis attendit qu'elle me dise si nous restions dans le parc ou si on allait autre part.

Je me dirigea vers , le parc ou je savait, que j avis un rendez vous avec une jeune fille, quand j arriva à destination, elle était assise sur le banc, et sembla, dessiner.
Elle se présenta comme étant Evie Gimhilde.

-Bonjour enchanter de vous connaître, Également, je vois que vous dessinez, nous allons rester au parc pour votre sécurité, car ici les vampire son pas tous comme moi gentille est serviable.

Je la regard et lui fit un sourire,et me demanda se qu elle voulais car rare son les visiteur ici.

-Que puis je pour vous mademoiselle, je vois que vous adorer dessinez, ses bien, sa détent, ici mes occupation son les promenade au parc, les visite de mon garde favoris, et j j'en passe.

Elle me regardait et écoutait écoutais que je disait,elle était gentille,mais osez venir à volterra,elle a pas peur, car ici les vampire son sans coeur pas comme moi
Je la regarda et attendi qu elle réponde à la question, que je lui avait posez tantôt.
Je sens que nous allons devenir amie.

Elle ne me dit pas son nom. En fait, ce n'était pas nécessaire. Je savais que c'était Athenadora. Elle me complimenta sur le fait que je dessine, et cela me détendit. J'avoue que j'avais eu peur de ne pas avoir le droit de reproduire ces lieux chargés de beauté. Puis elle me dit qu'on resterait au parc car c'était moins dangereux pour moi. Cela me rassurait d'un côté, car je n'irais pas dans un endroit plus dangereux. Mais en même temps, de savoir que tous n'étaient pas gentils et serviables comme elle me donnait la chair de poule.
Elle me demanda ce que je venais faire à Volterra, après un sourire. Je lui expliquait le but de ma visite :

Eh bien, j'ai entendu des rumeurs concernant des loups et vampires. Je sais que cela existe, étant donné que je suis une sorcière. Mais je fais des recherches pour en savoir plus sur les différentes races, la hiérarchie, le mode de vie, etc... C'est vraiment un sujet qui me passionne, j'aime en apprendre davantage sur les autres créatures paranormales. Enfin, je veux dire, différentes des humains. Et je voudrais savoir si vous voulez bien me parler un peu de la vie ici, parmi les vampires les plus craints.

J'espérais qu'elle tarirait ma soif d'informations, car j'avais pas mal de choses à lui demander. Et son sourire précédent me disait qu'elle était gentille, et qu'on allait devenir amies.

Elle me demanda comment la vie ici était, je fut surprise qu une jeune fille s intéressé à ses lieu, je savais pas par où commencer, mais je lui expliqua ma vie ici.

-ici la vie et pas toute rose, ses compliquer, à expliquer ici ses une à faire de politique de complot en tous genre, et parfois des vampire vegetarien, se promène ici, j en ai fait l expérience.

En effet je M était fait agressé, par un vampire vegetarien,et pas façons bagarre car il avait eu une idée en tête plutôt tordu.

-ici les roi regne en maître absolu, et les femme doive se taire et rester belle.
Moi je n ai plus aucune de ses contrainte.
-Nous nous cachons sans cesse, car ici à volterra en Italie nous somme mal vue, même pour les autre contrer.

Ses claire que la vie ici n était pas top, toujour, ses complot, ses affaire d état, on dirait qu ici nous devons rester enfermer, personne ne sort sans sa garde rapprochez.

Après sa je lui fit un sourire,

-Mais parlons de toi pourquoi t intéressé tu tant à ma vie ici.

J attendi sa reponse

Elle m'expliqua un peu la vie en général.

Ici la vie est pas toute rose, c'est compliqué à expliquer. Ici c'est une affaire de politique, de complot en tous genre, et parfois des vampires végétariens se promènent ici, j'en ai fait l'expérience . Ici les rois règnent en maîtres absolus, et les femmes doivent se taire et rester belle. Moi je n'ai plus aucune de ses contraintes. Nous nous cachons sans cesse, car ici à Volterra en Italie nous sommes mal vus, même pour les autres contrées.

Je notais ce qu'elle me disait. C'était à la fois passionnant et effarant. Les femmes étaient totalement soumises aux hommes, comme des bêtes. Je trouvais ça réellement répugnant. Mais bon, quelque part, nous étions un peu tous pareils. Alors que j'allais demander à Athenadora des détails, elle me devança :

Mais parlons de toi. Pourquoi t'intéresse-tu tant à ma vie ici ?

Je souris et répondit :

Comme je te l'ai déjà dit, je suis vraiment intriguée par les autres races. Je connais la vie des humains, un peu celle des loups et aussi un peu celle des vampires. Mais j'aime découvrir de nouvelles cultures. Je suis très curieuse de savoir comment vous vivez, ce que vous mangez, ce genre de choses. Et cela m'a permis de voir ce lieu paradisiaque, donc c'est que du bénef !

J'étais vraiment enthousiaste quand à être vendue ici. J'avais les yeux d'une gosse de 4 ans dans un magasin de jouets au moment de Noël. Vous pouvez imaginer comment j'étais heureuse !

-Nous nous nourris on de sang humains, enfin moi je M attaque plus au criminelle.
Les autre se nourrissent de tous, les humains.

En effet la chasse était particulièrement amusant pour nous.
On adorait voir nos victime, nous prier de les laisser en vie.

-Mais sinon on reste à l ombre de tous les humains, car on est vue comme des buveur de sang

Je ne pouvait pas en dire plus car, je ne sait pas grand chose moi je connaissait que le parc et mes quartier,
Le reste n était que broutille pour moi.
Étant donnez que j appartenait plus à Caïus Volturi, j était libre des mes mouvement.

Elle m'expliqua qu'elle se nourrissait de sang humain, mais plus particulièrement des criminels. Je pensais que la police des humains devait être plutôt contente, ils les débarrassaient de tueurs ou agresseurs en tous genre. Mais en apprenant que les autres se fichaient que ce soit des criminels ou des honnêtes gens, j'ai compris un peu mieux. Ici, chez les Volturi, il n'y avait pas de pitié. Aucun espoir de vie quand on était désigné comme proie. Et là, à cet instant, j'ai compris ce que c'était la peur.
Ce sentiment qu'on emploie à tort et à travers, pour un rien. Là, j'ai su le différencier. Ces frissons qui m'ont prise de la base de la nuque jusqu'en bas du dos. Le long de ma colonne vertébrale, je sentais des milliers de fourmis courir. Et j'avais les sueurs froides, la tête qui tournait. Malgré moi, je voyais un vampire, le visage plongé dans le cou d'une humaine, en train de s'abreuver à la source. J'ai eu un léger haut-le-coeur, mais je n'ai pas ressorti mon déjeuner.
J'ai regardé Athenadora, complètement paniquée. Même s'ils restaient à l'ombre des hommes, je comprenais ce que les vampires ressentaient. Je comprenais pourquoi ils ne les provoquaient pas. Pourquoi ils s'applatissaient, pourquoi les femmes ne disaient rien. Je portais ma main à mon sac en tremblant et sorti mon téléphone. Cela me rassura de l'avoir dans ma main. Mais je ne put rien rajouter, tellement mon imagination m'avait figée.

Je la vis paniquer, j ai eu de la, peine pour elle.

-Ne temps fait pas ici je suis la seule qui puisse être ton amie, je suis la seule à avoir encore un conscience et un coeur.
Je suis tellement gentille que certain vampire s autorisé tous sur moi.

En disant cela je revie en boucle mon agression,de savoir qu il était sur ment la à M épier me fesait peur.
Je re pensait à chaque fois que ses main s était poser sur moi de manière indécente.

-personne te touchera si il tente quoi que soi soit je ne occuperai d eux personnellement, voilà por quoi volterra et dangereux pour les humain.

Je commença à me lever est à fair les 100 pas

Elle me rassura, et je sentais que ma peur se confondait dans l'air avec sa douleur lorsqu'elle s'exprimait. Elle se leva et commença à marcher devant moi. Je sentais dans ses pas qu'elle souffrait. Et je ne pouvais pas l'aider. Que pourrait faire une petite sorcière contre autant de vampires ? Rien.
Et pourtant, j'avais envie de la voir sourire et s'épanouir comme elle le devrait. Elle était tellement belle, pourquoi fallait-il que des gens fassent du mal aux belles personnes ? Jalousie? Fort probablement. La pauvre.
Je me levais donc nerveusement et murmura :

L'heure tourne... Il sera bientôt temps que je rejoigne mon chez moi...

-bien ne vous inquiéter pas pour moi, je suis un peu nerveuse se temps si.

Elle me disait que l heure tourne et qu elle devait bientôt rentre chez elle, je resta silencieuse, et réfléchissait, à se que j allait dire ou fair.

-Si jamais tu as d autre question n hésité pas as passez me voir je serai ravie d y répondre.

Je lui fit un signe de tete et commença à repartir, car je sentait que quelqu un approchait.
Je rentra au château, et fit un dernier signe à evie de mon balcon.

Athenadora dut penser que je fuyait, ou alors quelque chose la fit fuir. Ou quelqu'un. Je le réprimandait : ça suffit Evie, ne fourre pas ton nez dans la vie privée des gens! En tout cas, elle fit demi-tour, après m'avoir invitée à revenir si j'avais d'autres questions. Je me fit la promesse silencieuse de revenir, questions ou non.
Athena était une jeune vampire qui méritait bien mieux que ce que j'avais vu aujourd'hui. Elle avait un coeur, des sentiments. Et je m'étais attachée à elle. Elle me paraissait tellement forte mais détruite de l'intérieur. Je la vis disparaître dans l'immense bâtiment, avant de réapparaître à son balcon pour me faire un signe de la main. Je lui répondit oar le même geste et reprit le chemin de chez moi.