It's always darkness before the dawn. [PV Athenadora] [TERMINÉ]

Je poussais la porte de la boite de nuit. La musique gueulait, c'était incroyable. Suivi de mes amis, on se fondait dans la masse informe que constituaient tous ces corps. Je n'entendait pas Louis, derrière moi, qui me criait qu'ils allaient danser. Il posa sa main sur mon bras et je m'arrêtait. Il me montra la piste de danse et je compris. Hochant la tête, je lui signifiait que j'avais compris. Il se faufila entre les gens et disparu de mon champ de vision.
Je me suis dirigé vers le bar, où une barmaid à croquer dans son uniforme prit ma commande. Je demandais un cocktail, et l'eut quelques minutes après. Je lui fit un sourire ravageur, mais elle se détourna et alla servir d'autres clients. Je la regardait s'éloigner vers l'autre côté du bar, avant de me retourner et regarder la piste de danse. J'aperçus Nick et Eden, non loin l'un de l'autre, qui dansaient avec une partenaire chacun.
Tandis que du côté de Nick, c'était plutôt chacun danse en face de l'autre, Eden était dans un collé-serré endiablé avec une jolie blonde. Je souris et me surpris à penser qu'il faudrait que j'aille danser aussi. Mais qu'est-ce qu'il me prenait ? L'alcool devait être fort, puisque je n'aimait pas danser. J'avais horreur de ça.
Une belle rousse arriva à ma droite. Comme un gentleman, je lui proposais un verre. Elle accepta, précisant qu'elle n'en prendrai qu'un. Elle n'aimait pas boire, prétexta-t-elle. Je lui souris et lui servi une bière. Elle me remercia et on commença à papoter, se mettant à l'écart de la musique. Elle me raconta qu'elle était française, et qu'elle venait fêter les 18 ans d'une pote. Je lui racontais vaguement ma vie, et pris sa main.
Elle me laissa faire, comme elle me laissa l'embrasser la minute suivante. Alors que je la serrais contre moi, mes mains sur ses hanches, elld glissa ses doigts dans ma nuque. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés là, à nous embrasser. Une de ses amies l'appela soudain et elle dût partir. Je ne savais d'elle que son prénom, Lily, qu'elle était française et que ses lèvres avaient un goût de fraise.
Je rejoignit mes amis, but avec eux et, à la fermeture de la boite de nuit, on déambula dans les rues. On était saouls, et on rigolait pour rien. Un chat devant nous, une voiture, un caillou. Enfin voilà, on était saouls. Alors qu'on marchait depuis 10 minutes dans la rue, on décida de tourner à droite. Ce qu'on vit alors nous glaça le sang.

J avais décider d aller me nourrir dans la ville, il fallait que je sorte des mur de mon château,mais il a mieux je me nourrissait seulement d homme.
Je vis un groupe de jeune homme, qui était fort séduisant.

-Bonsoir, jeune homme, je lui fit mon sourire aguicheur.

Je lui tourna autour avec une démarche, fort bien assurer, et surtous tres provoquant, je le regarda, et lui toucha la joue, il fallait que j'aille jouer un peu.

-Que faite vous seule à cette heure si la nuit est pas rassurante, à cette heure.

Je passa mes main au niveau de sa nuque, il était très jeune se qui me poussa à jouer d avantage avec,je si que ma proie allait s enfuir je du laisser 2 minute mon beau cavalier pour allez en finir aec lui.
Je lui sauta dessu et le, mordi contente je m approcha à nouveau de mon bel inconnu.

-Dsl de t avoir laissez je deteste laissez ma nourriture s en fuir, si on allait jouer derrière la ruelle est came on va allez jouer, un peu.

Je le dirigea vers une ruelle est commença à fair une danse assez provoquant, et M amusait à l embrassez.
Je senti son coeur battre, je le pris dans mes bras et continua de lui embrassez le cou, puis le mordi, je ne voulait pas le tuer cela serai ma création est le fruit de ma vengeance.

-Tu est si calme et si détendu tu me servira, et tu sera libre.

Le jour commença à se lever et je décida de retournez à volterra.
Mais je me jura de retrouver ma création coûte que coûte.

La belle jeune femme qui avait attiré mon attention s'approcha de nous et tourna autour de moi. Elle avait la voix semblable à des centaines de carillons qui s'entrechoquaient, et elle me parla avec un sourire aguicheur. Elle me tournait autour comme un vautour autour de sa proie. Sauf que la proie s'enfuyait en voyant le vautour. Moi, je n'avais aucune envie de fuir. Je ne savais pas qui était cette formidable femme, mais je savais que je m'abandonnerais sans hésiter à elle.
Elle me demanda ce qu'on faisait dehors à une heure pareille, en me touchant la joue. Sa main était glacée, mais sa peau était tellement douce. Je répondit en balbutiant qu'on sortait de boite de nuit. Elle glissa ses longs doigts fins dans ma nuque et s'éloigna. Je cru qu'elle me laissais et fit un pas vers elle. Mais elle se contenta de tuer un autre homme, le vidant de son sang. Cela me répugna. J'eu un haut-le-coeur et me retint de vomir. Elle revint vers moi et s'excusa :

Désolée de t'avoir laissé, je déteste laisser ma nourriture s'enfuir. Si on allait jouer derrière, la ruelle est calme. On va aller jouer, un peu.

Je la suivais, envoûté par sa démarche gracieuse. Je voyais ses beaux cheveux blonds se balancer dans son dos, et une envie de la serrer contre moi me pris. Elle commença à danser sensuellement autour de moi et à m'embrasser. Je goûtait ses lèvres sans retenue, mon pouls accélérant. Elle continua ses baisers dans mon cou et je la collais à moi. Je sentit très bien ses crocs s'enfoncer dans mon cou, puis elle but mon sang. Je lui offrait ce qu'elle désirait, sans broncher. J'étais un agneau dans la gueule du vampire. Elle s'adressa à moi, alors que je sombrait dans l'inconscience :

Tu es si calme et si détendu. Tu me servira, et tu sera libre.

Elle me lâcha et s'enfuit. J'étais seul dans cette ruelle.


Deux jours plus tard, je me réveillais dans cette même ruelle. Mais seul. Où étaient mes amis ? Ils m'avaient abandonné ? Je refusais d'abord d'y croire, puis finalement, me dit que si. Je me relevais, sans savoir qui j'étais. Je me remémorais la nuit de ma transformation et décidait de retrouver la magnifique créature. Mais d'abord, je décidais de chasser. Ma gorge était comme prise d'assaut par de la lave, et je couru dans la forêt. Droit devant moi. Je me nourri de biche, cerf, sanglier et je goûtait même l'ours.
Puis je rentrais chez moi. Ma mère vint m'ouvrir, elle ne se doutait de rien. Je sentit son odeur de lavande quand je la pris dans mes bras. Je lui expliqua que je partais, et que je ne savais pas où étaient les gars. Elle me serra dans ses bras, je lui avais caché que j'étais un vampire. Je sentit soudain une odeur plus tentante, et ma soif pris le dessus. Je mordit ma mère et la vida de toute son hémoglobine. Je réalisais après ce que j'avais fait. Je décida d'aller l'enterrer dans la forêt. Puis je pris la direction de l'Amérique, et arriva le lendemain à Forks.

Moi je veillait j espérait que le jeune homme revienne, por que je me présente en bonne et du forme, car je m était enfui, sans un mot.
Je décida donc de partir à sa recherche, mettant sur moi la cape des volturi, et met ta la capuche, s étai inutile d effrayer les gens je pris donc, un raccourci pour allez rejoindre, la forêt la plus proche, je resta à contempler les arbre, et décida de grimper sur la plus haute colline, arriver en haut, je descendi ma capuche et scrutent, le monde je décida d attendre, que ma création se montre, car je savait qu a un moment où un autre il voudrait, me rencontrer savoir qui je suis.
Je le vie dans la forêt,et sauta de ma colline pour lui fair face.

-Salut toi bel étranger, que fait tu dans cette forêt tous seul.

Je resta, face à lui et lui passa mes main au niveau de la nuque, je souri en voyant ma création me fair face, j avait réussi à transformer sans rejet.je lui tourna autour, comme je l avait, au début de notre rencontre,il était magnifique j avait au moin réussi un truc, le transformer,

-Tu est magnifique, l éternité de va bien, tu verra tu t y fera vite., tu es si calme.

Je commença à partir quand il me retiens par les mains que voulait il, me tuer, non vu la douceur avec laquelle il M attrapait, il voulait me parlez.
Je lui fit face, et attendi qu il me réponde.

Je ne sais pas pourquoi, mais je décidait d'aller dans la forêt. Peut-être l'instinct. Peut-être autre chose. Quoi qu'il en soit, je sentais que je devais aller en forêt. Alors je m'enfoncait entre les arbres, seul. Je pensais à mes amis. Où étaient-ils ? Que faisaient-ils ? Pourquoi étaient-ils partis ? Toutes ces questions se bousculaient dans ma tête, et la seule personne qui pourrait me répondre, c'était la jeune femme. J'arrivais dans une clairière quand je sentit un autre vampire.
Je la regardais et su que c'était elle. Mes yeux rouges croisèrent les siens, et elle me demanda :

Salut toi bel étranger. Que fais-tu dans cette forêt tous seul ? Tu es magnifique, l'éternité de va bien, tu verra tu t y fera vite. Tu es si calme.

Elle fit demi-tour. Je la retint, emprisonnant ses poignets dans mes mains. Je ne lui faisais pas mal, je la rapprochait de moi. Je lui répondit que j'avais besoin d'elle, qu'il fallait qu'elle m'aide. Je lui racontais que j'avais tuée ma mère, que j'avais peur. Je lui demanda où étaient mes amis, ce qu'il leur était arrivé. J'étais comme un bébé, j'avais besoin d'elle. Les larmes aux yeux, tremblant comme une feuille, je lui demandais :

S'il-te-plaît, aide moi... Qui es-tu ? Comment t'appelle-tu ? Où vis-tu ? Où sont mes amis ? Les as-tu transformés eux aussi ?

J'étais déboussolé.

Je vis bien la détresse dans ses yeux, il ne savait, pas où était des ami, il me demanda si je les avait transformer eux aussi il me demanda qui j était, il me demandait également comment je m appelait, ou je vivait, et où étai ses amis.

-Je m appel Athenadora volturi, je vie à volterra au sein d un grand manoir, je suis une vampire sanguinaire, et pour répondre, à ta question je ne sais pas où son tes ami je ne leur est fait aucun mal, il on du fuir quand il on vu qui j était, peut de personne reste après avoir découvert mon existence, sauf toi ses bizzarement tu aurai pu fuir mais tu ne la pas fait pourkoi.

S était une question comme les autre, il était le seul, à m'avoir suivi se soir la,ses ami je les avait pas vu, sinon je m aurait fait un me en plaisir à les transformer, chaqu un leurs tour.
Mais ils avait sûrement fuit.

-Je n ai pas vu tes ami mais à présent tu as l éternité pour les retrouver, jusqu a présent tu est ma meilleur création, tu sera au début tenter de tuer des gens pour te nourrir, mais après tu mangera se que tu voudra, car la liberté compte à mes yeux, tu sera tenter de venir me voir à chaque fois, espérons que tu finisse pas comme les autre, et que tu te retourna pas contre moi.je t aiderai si jamais tu as besoin.

Je lui déposa un léger baisers sur la joue, et commença à reprendre mon chemin , mais il M arrêta à nouveau, en me prenant par la taille avec douceur, que voulait il a présent, je m as si par terre et l invita à me rejoindre pour qu il me dise se qu il me voulait encore.
Il était déboussolé, je le voyait bien, je décida donc de lui prendre la main, dans la mienne et le rassura,il en avait besoin.
Je pensa à greg et à sa façon de me parlez lui aussi avait été déboussolé quand je m était rapprocher de lui, je l avait rassurer, et on s était rapprochez, j espère que cela ne se reproduira pas avec se jeune homme car je ne voulait pas être l objet de son désarroi.

Je mémorisait toutes les informations qu'elle me donnait. Athenadora Volturi, vivant à Volterra dans un grand manoir, vampire sanguinaire et elle ne savait rien par rapport à mes amis. Elle me fit remarquer que j'avais l'éternité pour les retrouver. Mais eux, ils n'avaient pas toute l'éternité à m'attendre. Je lui en fit la remarque, et elle m'expliqua que je voudrais boire du sang humain, mais qu'après je pourrais boire ce que je voulais. Elle me dit que je voudrais la voir et qu'elle espérait que je ne me retournerais pas contre elle.
Elle fit demi-tour, une fois de plus, mais je l'attrapa par la taille et la fit s'asseoir. Puis je posa mes fesses sur le sol, tandis qu'elle me rassurait. Elle m'attirait, je ne pouvais pas le nier. Mais une aussi belle femme devait être déjà prise. Je le sentais, elle avait une odeur assez étrange. Mais cela ne me fit rien. Je l'embrassait doucement dans le cou, pour sentir son pouls sous mes lèvres. Je glissa ma langue dqns son cou, avant de reculer. Je lui sourit et demanda :

Est-ce-que tu connais un endroit où je peux vivre ? Ne le prend pas mal, mais je ne veux pas vivre avec toi. Je n'aime pas ces yeux rouges et je n'aime pas le sang humain. Je veux boire uniquement du sang animal. Sais-tu où je peux vivre ?

Je la serrais contre mon torse afin qu'elle ne parte pas.

Je fut surprise, de le voir me serrezserrez contre, lui, mais surtous surprise qu il m embrasse dans le cou, il voulait cherchez mon pouls, je savait que s était faux je le voyait bien qu il était, attirer par mJe sais i.

-Je sais que tu vivra pas avec moi, mais au fond de la forêt se trouve une cabane abandonner, mais en bonne état,
Tu i trouvera un lit et tous se que tu veux.
La forêt pour te nourrir de sang animal ses l idéale.

J était contre lui, mais, je pouvait pas rester, je devait rentrer, mais comment rentrer après se qui m était arriver.
J avait peur.
Je le regarda, lui fit un sourire, et lui déposa un léger baisers dans le cou.
Avant de me reculez.

-peu de gens apprecie mes yeux rouge à par ceux de mon espèce, je t obligé à rien je t ai dit la liberté compte à mes yeux, voilà pourquoi je te laisse libre de tes choix.
Car moi j'en avait pas eu le choix de devenir se que je suis devenu.

J allait me relever mais il me retiens, il ne voulais pas que je parte, mais que me voulait il vraiment, je ne pouvait pas je n avait pas le droit de ressentir se que je ressent ai à se moment précis.
A part si personne ne parle.

-Je ne veux pas te donnez de faux espoir, si j avait su que ta vie était précieuse, je ne te l aurai pas ôtez, pour que tu devienne un des mien.Mais tu t'es pas débattu pourkoi tu M à suivi se soir la et pourkoi tu t'es pas débattu à se moment la.

Je le regarda en lui posant cette question, je voulais savoir pourkoi se soir la au lieu, de fuir il m'a vais suivi, et s était laissez mordre.
Cet question me hantait je voulais savoir.

-Répond moi s il te plaît, dit moi pourkoi tu ne t'es pas enfui le soir ou nous nous somme rencontrer.

J était encore plus troubler que lui, a se moment précis.Je ne savait pas si il me répondrait un jour.
Je commença à me relever, mais il me retiens, se mit face à moi.
Avant de me déposez un baisers sur les lèvre.
J eu un mouvant de recule, et le regarda.
Allait il répondre à ma question.

Elle m'indiqua qu'il y avait une cabane au fond dss bois. Étant humain, on rigolait avec les gars en disant que plus tard, on vivrait tous ensemble dans une cabane au fond des bois. Eh bien, cela se réalisait. Mais c'était suffisant, du moins le temps que je m'habitue à mon régime alimentaire. Elle me demanda pourquoi je ne m'étais pas débattu et pourquoi je n'avais pas fuit. Ma réponse fut simple :

Quand je t'ai vue, tu m'as attiré. Pas dans le sens sexuel. Non, je ne sais pas, il y avait quelque chose en toi qui m'invitait à rester. Alors je n'ai pas fuit.

Elle se releva, mais j'avais anticipé son mouvement. Me relevant d'un bond, je me plaçait face à elle et l'embrassa. Elle recula, et je compris qu'elle était déjà avec un autre. J'eu l'impression d'être le vampire le plus stupide de la Terre. Je continuais ma réponse :

Tu étais tellement belle, j'avais envie de te laisser faire. J'ai vu que tu as tué un homme. Ça m'a répugné mais je suis resté parce que j'ai senti en moi que tu allais changer ma vie. Et c'est ce que tu as fait.

J'ai baissé la tête, honteux. Je n'aimais pas avouer mes sentiments aux gens, et c'était d'ailleurs pour ça que j'étais encore puceau. Une larme a coulé sur ma joue, et j'ai relâchée Athenadora. Je me suis rassis sans un bruit, attendant de voir sa réaction quand à ma confidence.

Je le prit dans mes bras, et lui rendit son baissez, mais je n alla pas plus loin.
Je le vit pleurer, et cela me fit encore plus mal.
Je m approcha à nouveau, et l embrassa, à ce moment précis j avait tous oublier, je ne sais pas se qui se passait mais un lien nous liait , l un à l autre.
Oui en effet j était prise, j ai mais greg de toute mon âme, lui aussi je n en doute pas.

-Ne pleur pas, je suis tour la je ne suis pas parti, j ai reculez car, je ne savait pas koi fair, il est vrai que tu M attire dans tous les sens du terme, mais je ne veux pas te don et de faux espoirs, car je ne pourrai pas me pardonnez si jamais, je fesait se que je pense, car oui j ai quelqu un dans ma vie.
Je ne veux pas être l objet d un désir sur u coup de tête.

Mon greg l homme idéale, près à tous pour me garder, près de lui, et ses se que je cherchait depuis toujour, ou du moin de,puis que je suis plus avec Caïus, lui me fesait rire, il me comprenait.
Je l aimait, et sa jamais je pourrai le trahir.

-Je t ai trouver attirant ses vrai, je t aime ses aussi vrai mais ce la n aboutira à rien, car, je ne saurait trahir se lui que j aime, il vrai que je pourrait prendre des amant, mais sa ne marcherai qu une nuit pas.

J était vu comme la plus belle femme de Volterra, tous le monde me voulait dans son lit se qui n était pas fâcheux mais plutôt touchant, mais je les avait fait venir pour une nuit.
La s était différent j était avec un homme qui s en foutait royalement, de moi.
Mais aujourd hui j ai trouver l amour.

-il est vrai que je t aime mais cela ne pourra hélas pas marchez, je te à se que ton coeur reste intacte, vie ta vie pense à moi si tu veux et je viendrait je t aiderai à trouver tes copains et les transformerai pour que tu soi pas seul.

-Va la ou je t ai indiquer et si tu veux je vien avec toi pour t accompagner, pour que tu voit ou sait

Je me leva et commença à marchez en direction de la cabane, vien avec moi comme sa je te laisserai en paix apres.

Elle m'embrassa. Je fut tout d'abord surpris, elle qui avait reculé quelques minutes auparavant venait de m'embrasser. Puis je me détendit et lui rendit son baiser. Dieu que ses lèvres étaient douces. Je ne réfléchi pas lorsque je posais une main sur sa hanche et l'autre dans le creux de son cou. Ce n'était pas une recherche de pouls mais bel et bien un baiser. Puis elle me ramena à la réalité, me disant qu'elle avait déjà un homme dans sa vie. Je le savais, aussi cela ne me fit pas vraiment mal.
Cependant, elle me dit qu'elle m'aimait mais que cela ne durerait qu'une nuit. Je souris lentement en murmurant :

Jamais je ne t'aimerais qu'une nuit, Athena... Mais je ne vivrais jamais le grand amour avec toi, je le sais. Cela ne me dérange pas, j'ai plus de respect que d'amour pour toi. Les femmes ne sont pas des jouets pour les hommes. Jamais tu ne seras un coup d'un soir.

Elle me proposa de m'accompagner à la fameuse cabane. Je la suivi donc, tout en me faisant à l'idée qu'après, elle me laisserait seul. Enfin on arriva dans ma nouvelle demeure et je me tournais vers elle. Je caressa doucement sa joue du bout des doigts et l'embrassa après lui avoir murmuré :

Merci pour tout.

Je le regarda, lui sourie, et lui rendit son baisez, il me disait, qu il me respectait plus qu il m aimait, je fut, surprit que malgré sa il me rendit mon baisez.
Il M aimait cela ne fesait pas de doute.
Je ne savait plus koi fair, je commença à partir et M arrêta à quelque mètre me retourna et me mit à courir, ver Alexander, et l embrassa.

-Ce fut un plaisir de t aidez, et n hésité pas à venir me voir.

Il, m arrêta.

Je reprit ma marché avant de passez à l étape supérieur,car il m était pas indifférent.
Je rentra à volterra et me, promit de revenir le voir.
Je ne pouvait imaginer que je pouvait aimer deux homme à la fois
Mais greg était l on me de ma vie et le restera toujour.

Elle commença à partir, pour mon plus grand regret. Alors j'ouvris la porte de la cabane, curieux de savoir à quoi elle ressemblait. Mais je n'avais pas fait un pas que j'entendis une course en ma direction et j'eu juste le temps de rattraper Athena qui avait fait demi-tour pour revenir m'embrasser. Sachant très bien que je ne pourrais jamais l'aimer librement, je pris quand même le risque de lui rendre son baiser. Puis, sans aucune retenue de ma part, je glissait ma langue à l'encontre de la sienne. Puis, après l'avoir gardée ainsi près de moi 5 minutes, je la laissait partir.
Elle me dit de venir la voir chez elle, et je me promis d'aller lui rendre visite. Puis elle partit. À cet instant, je me sentit tellement mal de l'avoir laissée partir que mon cerveau disjoncta. Sans être réellement conscient de mes actes, je lui couru après, comme un fou. Je la suivi chez elle et parvint à la plaquer au mur. Alors, je battit des paupières et réalisa ce que je faisais. Je posais doucement mes lèvres sur les siennes, puis lui murmura un "je t'aime" dans le creux de l'oreille. Puis je reparti, les larmes dévalant mes joues mais heureux d'avoir pu lui dire.

Je sursauta, quand je me retrouva plaquer contre le mur, s était Alexander, il posa ses les sur les mienne, et me murmura qu il m aimait.
Puis il reparti, comme il était venu je l entendit pleurer, je ne pu retenir mes l'arme moi aussi il était si fragile et j avait décider de le changer, je ne pensait pas que nos coeur s entrechoquerai pour laissez place,à un sentiment aussi fort.
Je lui cria d attendre,

-je te retrouverai à la cabane, à chaque nuit pour que je t aide à t en sortir.

Mais si j y allait je savait que, je ne pourrai résister à l envi de lui sauter dessus, mais si s était le cas autant que sa se passe en dehors des yeux indiscret.
Je le laissa repartir à contre coeur, et rentra chez moi, après li avoir déposer un léger baisers sur les lèvre.

Elle m'embrassa, puis me promis de venir toutes les nuits pour m'aider. Je souris et rentrais chez moi. J'allais la revoir d'ici peu.
***

Je patientais depuis le matin. J'avais tellement hâte de la voir. Elle me manquait, c'était indéniable. Le temps me paraissait tellement long, comme si le Dieu du temps s'amusait à le ralentir pour me faire souffrir de l'absence de ma belle créatrice. J'entendis enfin sa course, alors que la lune avait déjà pointé le bout de son nez. Elle était à peine sur le pas de la porte que je lui avais ouvert et, comme un gentleman, je lui fis un baise-main.
Je la regardais, elle était toujours aussi belle qu'avant. Je n'osais pas faire un geste de plus, attendant qu'on aille chasser.

Je re tien m promesse, et à peine j était arriver que j etait déjà accueilli .

-Salut Alexander prêt pour ta leçon de chasse.

Je lui expliqua en détaillé. Et l en voyant chassa je l attendit et la il ramena une biche.
Je lui sourit et le laissa, manger en paix.
Après qu on soi rentrer je resta debout, et lui fit les yeux doux la premier leçon était acquis .

-Que veux tu fair maintenant, je le regardait en disant sa.

Je ne pu m empêcher de sourire, je m approcha de lui et lui déposa un léger baisers.
J était sur le point de sortir, quand il me rattrappa .

Elle m'expliqua que jnallais chasser. Elle m'attendais dans la cabane, et je partit en courant. Peu après, je renifla une biche. Aussitôt, je réveilla mon instinct de chasseur et lui bondit dessus. La bestiole n'eût pas le temps de bouger, je l'avais achevée. Je rentrais à la cabane, fier de ma première prise. Quand j'eus fini de manger, Athena me demanda ce que je voulais faire. Je ne répondit pas, elle m'embrassa avant. Puis elle se dirigea vers la porte.
Je la rattrapa par les hanches et la colla contre moi. Je fis passer mes bras devant son ventre, puis je murmurait à son oreille :

Athena, il faut qu'on parle.

Je fut surprise i, m attrapa et mis ma main sur mon ventre.

-Je t écoute que veux tu, je suis prête à tout entendre.

J avait peur il me dise qu il veuille plus que je vienne, mais j etait prête à l écouter.
Je ne put m empêchez de rester muette.
Je l écouta.

-je t écoute dit moi tous, je sis la si tu veux que je vienne plus dit le et je reviendrai pas, à moin que sa soi autre chose.

J attendi sa reponse, avec patience, mais que voulait il me dire.
J était inquiéte.

Elle pensait que je ne voulait plus la voir ? N'importe quoi ! Je soupirait et murmurait :

Athena, je t'aime, vraiment. Mais tu es avec un autre. Je ne veux pas qu'il découvre ce qu'il se passe entre nous. J'ai peur. Pas qu'il me fasse du mal, mais qu'il te laisse. Tu seras malheureuse et je ne veux que ton bonheur. Il faut qu'on arrête de s'embrasser, de se dire des mots doux.

Cette décision me brisait le coeur. Mais c'était pour le bonheur de ma créatrice. Je m'éloignais d'elle et m'assis sur le lit de camp. Je ne savais pas comment elle allait prendre cette nouvelle, mais je ne voulais pas qu'elle risque de perdre l'amour de sa vie.

-Il n en saura rien.

Les m était sortit de la bouche, je ne pu m empêcher te retenir mes l'arme, je me retourna face à lui,
Le regarda, et sortit de la cabane, je me mis en un coin, pour confier à la nature mon désarroi, mais ne un coter, il avait raison, mais de l autre, je ne pouvait pas y croire.
Je reviens sur mes pas et alla le voir.

-Il en saura rien, mais si tu veux je te laisserai trankille, je t aime sa ses indéniable toi aussi.

Mais je voyait que sa lui brisait le coeur, alors je pris les devant et M assie à coter de lui, et lui parla long ment je lui passa mes bras autour du coup, et le regarda, des heure et de heure, puis je ne sais pas par quel miracle, je me mi à l embrassez.
Puis je sorti de la cabane, l air était si frais, et il me rejoigne.
Que ou lait il fair à présent.

Il n'en saura rien, selon elle. Je ne pouvais pas y croire. Elle sortit, je l'entendit pleurer. Je voulais la rejoindre, mais elle fut plus rapide et revint pour m'assurer qu'il n'en saurait rien. J'aimerais bien la croire, mais c'était trop beau. Elle s'assit à mes côtés et me parla longuement. Je n'écoutais pas, je ne faisais qu'écouter le son de sa voix sans chercher à comprendre les mots. Puis, je ne sais pas pourquoi, elle m'embrassa. Et elle sorti à l'extérieur.
Je la rejoignit et l'enlaça par derrière. Puis je posais un doux baiser sur son épaule, puis un second un peu plus haut et je continuais jusqu'à remonter derrière son oreille. Je la tournais face à moi et décida de lui faire confiance. Reprenant mes baisers le long de sa mâchoire, je descendit jusqu'à l'embrasser sur les lèvres. Je jouais distraitement avec une de ses mèche de cheveux avec ma main droite, la serrant contre moi de ma main gauche.
Ma langue trouva rapidement le chemin de la sienne, et je commençais à approfondir le baiser. Ma main avait lâchée sa mèche de cheveux pour aller se poser sur sa hanche, tandis que ma main gauche était entre ses omoplates. Je ne voulais pas que cette nuit finisse.

Il me rejoigna, il avait peur que notre secret soi dévoiler, mais il n en ai rien il me fit confiance, et il m embrassa, puis joua avec une mèche de mes cheveux, puis il déposa sa main sur ma hanche, et continua à M embrassez.

-rentrons à l intérieur si tu veux, comme sa personne nous verra.

Nous nous mettons au chaud et on continua à nous embrassez.
Je savait que se moment était fatidique, car, il savait qu il m aimait et M avoir à ses coter, était merveilleux pour lui et pour moi.

-Tu me fait confiance, personne ne saura la cabane restera notre endroit secret.

Il va falloir que je parte le jour commence à se lever, je reviendrai dans la soirée, et on continuera ou on s était arrêter.
Je me dirigea vers la porte et commença à mettre un pied dehors quand il me retiens.
Il voulais sûrement me parlez.

J'étais d'accord pour que la cabane soit notre lieu de rendez-vous. Elle m'informa qu'elle devait partir, et quelque chose hurla en moi. Je savais qu'elle reviendrais en même temps que la nuit, mais je ne voulais pas qu'elle parte. Je l'aimais, et je la voulais avec moi. Je la retient donc, alors qu'elle s'apprêtait à franchir le seuil de la porte. Je mit mon ego de côté et murmura :

Athena... Ne part pas...

Je savais que c'était impossible, aussi je la relâchait. Puis je posa mes lèvres dans son cou et fini par lui dire :

Reviens-moi vite...

Je me retourna vers lui, et lui, déposa un baisers sur les lèvre, je reviendrait vite tu le sait.
Aussi je décida de prolonger notre baisers, puis le regarda.

-je reviendrai vite et sa tu n le sait.

Je lui donna un baisers, puis, je m éloignant, je le regardait, et tourna les talons, mais se fut avec la plus grande suprise.
Il me rejoigna près d un arbre, et M embrassa encore.

-à plus tard.

Je disparu, à la lisière de la forêt et retourna chez moi ni vé ni connu, et me coucha, je pensa à Greg et à la surprise qu il avait prévu, j eu un sourire, et je m endormi un peu.

Je souris après l'avoir laissée partir. Elle était merveilleuse. Tellement belle et gentille. J'occupais ma journée suivante à réfléchir. Notre relation n'était pas une bonne chose. Autant pour elle que pour moi. Après tout, elle trompait celui qu'elle aimait et moi, je ne cherchais pas de femme. Non, ce n'était vraiment pas bien. Je patienta jusqu'au soir et quand elle arriva enfin, je lui annonça :

Athena, tu es ma créatrice, je t'aime et tu le sais. Mais malheureusement, je voudrais qu'on arrête. Ce n'est pas toi, c'est que je veux ton bonheur, et Greg est la seule personne qui peut te rendre pleinement heureuse. De mon côté, j'aimerais rencontrer une femme, et vivre heureux avec elle. Tu comprends ?

Je glissais mes doigts sur sa joue. Je ne voulais pas lui faire de mal, mais je devais lui dire.

Je me rendit, comme d habitude, à la cabane à peine arriver, il m annonça que cela devait s arrêter, je comprit qu il ne voulait que mon bonheur , et je lui répondit.

-Très bien pas de souci, je ne reviendrait pas.

Il glissa ses doigt sur ma Joue et détourna ma tête, j était vexer Certe mais il ne voulait pas me de mal.
Je tourna les talon, fière, et M éloignant, je le regardait une dernière fois et dit dit.

-pas d adieu je n aime pas sa, je ne reviendrait plus ses promit.

Je couru, dans la forêt, et disparu, sans un regard derrière moi.
Je retourna chez moi ni vu ni connu et essaya de deviner la surprise de greg.
Et je m endormi, en pensant à se qui m attendait.

Comme je l'avais prédit, elle le prit mal. Elle me jura de ne plus revenir, puis elle partit. Aussitôt, je me jetait sur mon bureau pour lui écrire une lettre :

"Athena, ma chère et tendre,
Tu es ma créatrice, et je ne veux pas te perdre. Notre relation est impossible, tu as déjà un homme dans ta vie qui te rend heureuse. Je ne te sers à rien. J'ai décidé de déménager à Forks, tu pourras m'y trouver. J'aimerais vraiment que l'on continue de se voir, en tant qu'amis.
Bisous,
Alex."

Je couru jusque chez elle, et je posa la lettre à côté d'elle. Je ne sais pas si elle m'entendit ou si elle me sentit, mais je ne restais pas. Je rentrais à la cabane et fini par trouver un petit studio. Je m'y installait et n'en sorti pas de la journée.

Je découvrit une lettre à coter de ma table je décida, de l ouvrir, s était Alexander qui m écrivait qu il déménagera à forts , à ville où je ne pouvait pas me rendre, il m écrivait aussi que je pourrait le voir en tant qu ami.
Je lui répondit.

Cher Alexander,

J ai bien reçu ta lettre, qui et d ailleur très bien.
Mais je ne te verrai pas forks car je n ai pas le droit d y allez,
Et oui la vie de vampire de à famille volturi,
N on pas accès à cette ville.
Je suis navré mais je pense qu on devrait
Se voir dans la forêt, ses la première et dernière lettre que je t envoie
Avec toute mon amitier
Athenadora.

Je décida de risquer, d allez à forks, déposa la lettre, a un pied de la, porte d Alex frappa et M en alla pour retourner d ou je venait.

Je reçu sa lettre. Je la lisais et finalement, décida d'aller directement lui parler. Je me mis en route pour Volterra et arrivais chez elle. Je toquais doucement à sa porte, puis me dirigeais vers elle. Je pris ses mains et l'embrassait sur la joue. Elle sentait bon, comme toujours. Je lui sourit et m'assis sur le sol. Puis, je commençait à lui parler :

Athena, je sais que je t'ai fait du mal... Mais tu sais que j'ai raison. Athena, ne m'en veux pas, s'il-te-plaît...

Je lui sourit et attendit sa réponse.

Je vie Alexander, il me demanda de pas lui en vouloir, mais le problème ses que je ne lui en voulait pas, mais j etait déçu,
Il me pris les main et M embrassa sur la joue.

-Je t en veux pas je suis juste déçu mais j ai comprit.

Je m éloigna, un peu , je ne pouvais pas rester, à coter de lui sans vouloir, l embrasse, je le regarda à nouveau.
Et . M assie au bort de mon lit.

-Pourquoi et tu revenu Alexander, je sais bien que ses dure d etre à coter de moi.

Je resta assie sur mon lit, puis décida d aller derrière mon par avant me changer.
Je retira ma robe tâcher de sang, pour en mettre une encore plus jolie.
J était une femme avec, des millier de robe aussi belle que sexy.
J enfila, donc ma robe noir à décolleté, plongeant.
Sorti de derrière, mon paravent, et alla mettre mes plus beau bijoux.

-Désoler, que voulait tu a part de pas t en vouloir se qui et le cas.

Je le regarda et alla m assoir sur le rebord de mon lit pour mettre mes chaussure et attendit sa réponse

Mon Dieu elle était réellement canon. Elle se changea, après m'avoir dit qu'elle était simplement déçue. Elle troqua sa robe sanglante contre une robe noire à décolleté plongeant. Elle se para de magnifiques bijoux et me demanda ce que je venais faire, mis à part ça. Je haussais les épaules et lui répondit :

Je venais te voir. Je n'ai pas le droit ? En fait, je voulais simplement te dire que si tu veux me voir en forêt, il te suffira de m'appeler. Tu en es capable, n'est-ce pas ?

Je souris et l'embrassa sur la joue avant de repartir.

Il venait me voir ses gentille, à lui, je le regarda, et lui dit simplement.
-oui mais t appeler je sais pas, mais je suis souvent en forêt donc à l occase, passe me voir.

Il me déposa un baisers sur la joue, et, moi je sorti de ma chambre, pour allez, me balader.

A bientôt Alex je lui fit un clin d oeuil et parti avec grâce et naturel.