My home is your home. [PV Violette]

RP précédent (à lire):

On venait de traverser la ville. La main de Violette dans la mienne, je sentais son stress et sa peur. De quoi, je n'en savais rien. Mais je ne voulais pas qu'elle stresse. Je sentis son bras collé au mien tout le trajet.
Je poussais la porte de mon appartement et l'invitais à entrer. L'intérieur pouvait faire penser à un hôpital. Tout était en ordre. Mais le plus déroutant, c'était la couleur blanche très présente.
Pour beaucoup, c'était la couleur de l'hôpital, du froid parce que la neige est blanche. Pour moi, cela symbolisait plutôt la pureté de l'âme, la paix, le mariage. Toutes ces choses que beaucoup voulaient mais que peu avaient.
Il y avait aussi du vert, grâce aux plantes disposées dans tout mon appartement. Vert, la couleur de l'espoir. Associé au blanc, c'était probablement un espoir d'une paix possible.
Le rouge était là dans les coussins de mon canapé, les rideaux. La signification était évidente. Cela était la couleur du sang, car n'oublions pas que je suis un vampire.
Mais c'était aussi la couleur de l'amour, celui que je portais à ma mère avant, et désormais celui que je donnais à Violette. Je me tournais d'ailleurs vers elle, un petit sourire aux lèvres.
Je sentais qu'elle était toujours stressée. Doucement je caressais sa joue, avant de lui murmurer que tout allait bien se passer. Je n'avais pas peur d'elle ni de son don.

HJ:

J’étais en train de me laisser guider dans la ville, tout en essayant de faire attention à mes pensées. Je refusais de faire du mal à quelqu’un donc je restais concentré sur Alex. Malgré d’être près de lui, j’avais toujours une petite peur, j’essayais de lui cacher. Quand nous fûmes à l’intérieur de son appartement, je fus surprise par la couleur de ses murs. J’aurais dit qu’on serait rentré dans un mini-hôpital, mais quand je regardais la suite. Il y avait de la couleur rouge ainsi que verte. Le fait de venir ici me mettait mal à l’aise et cela me stressait aussi. J’avais beau essayer de contenir mes pensées ainsi que de ne pas lui faire mal, mais Alex avait déposé sa main sur ma joue afin de me dire que tout allait bien se passer et qu’il n’avait pas peur de moi ni de mon don.

Je finissais par déposer mes deux mains sur chacune de ses joues avant de le regarder dans les yeux. Je recherchais de sureté dans son regard, je finissais même par tomber. Son regard était si doux que je ne voulais pas lui faire mal même si je ne contrôle point mon don. Je termine par prendre la parole :

- Alex, je ferais mon possible pour ne pas utiliser mon don ici. Il faut juste que je n’y pense pas trop et je crois que cela devrait aller.

Je lui fis une bise furtive avant de déplacer mes mains sur son torse, mais mon regard ne quitta pas le sien, puis je lui souris avant de reprendre la parole.

- Est-ce que tu voudrais bien faire visiter ton appartement s’il te plaît.

Alex, je ferais mon possible pour ne pas utiliser mon don ici. Il faut juste que je n’y pense pas trop et je crois que cela devrait aller.

Ses lèvres vinrent de nouveau se poser sur les miennes, avant qu'elle ne pose ses mains sur mon torse et me demande :

Est-ce que tu voudrais bien faire visiter ton appartement s’il te plaît.

Je gardais un sourire qui se voulait rassurant et pris sa main. Je l'entraînais doucement avec moi dans un couloir en présentant les différentes pièces :

Alors, ici tu as la salle de bain et les toilettes. Les deux pièces sont séparées. Plus loin, tu as un petit dressing peu rempli, et juste à côté, il y a ma chambre.

Je poussais doucement la porte de la fameuse pièce. Je n'avais pas besoin d'une chambre, mais c'était surtout au cas où un humain déciderait de se lier d'amitié avec moi. Il trouverait ça bizarre d'avoir un appartement et de ne pas avoir de chambre.
Ma chambre,, justement, différait du reste de l'appartement. Les murs étaient couleur soleil, comme les rideaux. La moquette en imitation carrelage se fondait avec, et il y avait une petite table de chevet dans un coin, une lampe posée dessus.
Mais ce qui prenait le plus de place c'était le lit double, contre le mur. J'avais choisi les draps blancs, et il était parfaitement fait. Je regardais Violette, avant d'expliquer mes choix de couleurs :

Je voulais faire de cette pièce un endroit reposant. Le reste de l'appartement est plutôt blanc parce que je veux que tout le monde s'y sente à l'aise. Ici, c'est un cocon, personne à part moi - et toi si tu le veux - ne va. C'est une pièce spéciale car elle est un peu comme un lieu de réconfort.

Je l'invitais clairement à venir ici quand elle le souhaitait. Elle pouvait ainsi avoir un endroit où venir se détendre si elle en avait besoin. Je caressais doucement sa joue avant de fermer les yeux. Je sentais son stress et je voulais la détendre. C'est pour cela que je décidais de fermer la porte.
On était dans l'espace le plus intime de l'appartement, mais aussi le plus reposant et le moins encombré en objets. Au moins, elle n'aurait pas grand chose à casser si jamais son don se réveillait. Je la gardais dans mes bras.

J’écoutais ce qu’Alex me disait et je ne lui posais aucune question. Au plus, qu’il me faisait visiter son appartenant, je trouvais cela étrange qu’il y a des meubles qu’on n’avait même plus besoin comme les toilettes. C’est en réfléchissant que je réalisais que c’était peut-être pour les humains ou caché qu’il est un vampire aux yeux de la communauté mortelle. Alex m’avait seulement parlé de son dressing où il y avait peu de vêtements, au moins, il avait des vêtements. Il n’était pas obligé d’aller en voler sans que les vendeurs s’en rendent compte. En dernier lieu, il me faisait rentrer dans sa chambre. J’avais eu l’impression de rentrer dans une autre maison, car tout l’appartement était de couleur blanche tandis que sa chambre est de couleur soleil. Cette couleur me rappelait la chaleur du soleil, je restais même émerveiller. Je n’aurais jamais cru voir cela chez quelqu’un, mais pourtant, il y avait quelque chose qui me calmait.

Ensuite, j’écoutais ce qu’Alex me disait, je trouvais aussi que cette pièce était reposante. Cependant, je ne comprenais pas trop ce qu’il voulait dire par « je veux que tout le monde s’y sente à l’aise ». Toutefois, il entama par la suite qu’il était le seul à rentrer dans cette pièce et que je serais aussi la bienvenue si je souhaitais rester ici. Il termina même de parler du fait que c’est un lieu de réconfort pour lui. Je ne comprenais pas trop ce qu’il voulait dire sur le coup. Est-ce qu’il y avait un lien avec son passé ? Ou je ne sais pas trop quoi. Je ne voulais pas lui poser la question, car je ne voulais pas être indiscrète.

Je fus sortie de mes pensées quand Alex me caressait doucement ma joue et il ferma ses yeux. Je me demandais bien ce qu’il pouvait bien faire. Pourtant, le fait d’être dans cette pièce me faisait stresser. Il y a des objets, mais le fait de voir le fameux lit me faisait remémorer un souvenir très sombre dont j’essayais de me rappeler ce qu’Edward m’avait dit. Soudainement, j’entendis qu’il ferma la porte ce qui me fit paniquer. J’avais beau essayer de contenir mon don et de me concentrer sur Alex. Il m’avait serré contre lui afin que je puisse rester calme. La panique se calma un peu, mais je pouvais ressentir que la lampe qui était mise sur la table de chevet qui commençait à bouger. Je pris donc la décision de prendre une grande respiration, puis de reprendre mon sang-froid. Je levais ma tête pour regarder Alex

- Alex, il y a quelque chose que je ne comprends pas trop. Tu souhaites que tout le monde se sente à l’aise, mais que personne n’ait le droit de rentrer dans ta chambre. Comment tu peux savoir s’ils sont à leur aise ? Je ne veux pas te critiquer bien au contraire, j’aimerais bien te comprendre.

Je fis une petite pause afin de reprendre une respiration même si je n'en ai pas besoin, puis je déposais une main sur sa joue tout en continuant à le regarder.

- Je trouve que tu as bien choisi la couleur de ta chambre et le fait que tu souhaites que je reste avec toi me rend heureuse. Je voulais aussi savoir si tu avais peur que je parte loin de toi, vu que tu as fermé la porte derrière toi. Je ne comprends pas trop ton geste. Si je suis venue avec toi, c’est que j’ai envie d’être près de toi. Je me sens en sécurité quand je suis avec toi. Je dois bien t’avouer que ma panique ou le stress me joue des tours en ce moment et que je lutte contre moi-même.

Je lui souriais avec difficulté, mais je fis une bise furtive le second de la journée puis je m’éloignais un peu de lui afin d’aller déposer ma main sur la lampe qui se trouvait dans le coin. Je me fermais quelques instants les yeux puis quand je les rouvris la lampe ne bougeait plus. Je lâchais même un soupir de soulagement avant d’aller m’asseoir au bout du lit.

- Dit Alex est-ce que la couleur de ta chambre à avoir quelque chose avec ton passé ? Tu n’es pas obligé de me répondre si tu n’en as pas envie.

Je le fixais du regard tout en tapotant avec ma main sur le lit pour qu’il vienne s’asseoir près de moi.

Alex, il y a quelque chose que je ne comprends pas trop. Tu souhaites que tout le monde se sente à l’aise, mais que personne n’ait le droit de rentrer dans ta chambre. Comment tu peux savoir s’ils sont à leur aise ? Je ne veux pas te critiquer bien au contraire, j’aimerais bien te comprendre. Je trouve que tu as bien choisi la couleur de ta chambre et le fait que tu souhaites que je reste avec toi me rend heureuse. Je voulais aussi savoir si tu avais peur que je parte loin de toi, vu que tu as fermé la porte derrière toi. Je ne comprends pas trop ton geste. Si je suis venue avec toi, c’est que j’ai envie d’être près de toi. Je me sens en sécurité quand je suis avec toi. Je dois bien t’avouer que ma panique ou le stress me joue des tours en ce moment et que je lutte contre moi-même. Dit Alex est-ce que la couleur de ta chambre à avoir quelque chose avec ton passé ? Tu n’es pas obligé de me répondre si tu n’en as pas envie.

J'analysais sans difficulté les différentes parties de son observation, et je la trouvais peu attentive sur certains points. Mais c'était sûrement parce qu'elle se concentrait sur son don - et d'un certain point de vue, valait mieux pour moi qu'elle se concentre dessus.
Elle s'installa confortablement sur le bas de mon lit, après avoir calmée la lampe qui semblait vouloir apprendre la salsa. Elle tapotait le couette à son côté m'invitant à me joindre à elle, ce que je fis sans tarder. Puis je lui expliquais :

Je veux que tout le monde se sente à l'aise dans mon appartement, mais ma chambre leur est interdite. Ensuite, j'ai fermé la porte parce que j'ai pensée qu'en faisant cela, tu aurais moins peur de détruire des objets, mais peut-être me suis-je trompé... Et enfin, la chambre... Non, elle n'a pas de rapport direct avec mon passé. Enfin, peut-être que si mais... Mon passé n'est pas vraiment une histoire très jolie, donc je n'en parle que rarement.

C'était vrai, je n'aimais pas mon passé, je regrettais mes actes. Tuer Maman, abandonner mes amis, et en particulier Gracie avait été quelque chose de très compliqué, même si j'étais devenu un vampire. Je ne voulais pas les blesser - voire pire, les tuer.
Je n'étais pas un assassin, et je voulais le prouver à tous ceux qui connaissaient ma triste histoire. J'avais une âme, un coeur, des sentiments, et ce malgré que je sois devenu un buveur de sang animal. Je n'étais pas devenu un monstre, j'étais toujours le même.
Étais-je stupide de penser ça, alors que je me nourrissait de sang de pauvre bêtes qui n'avaient rien demandé ? Probablement. Mais c'est ainsi que je voulais voir les choses. Voir le verre à moitié plein, si vous voyez ce que je veux dire. C'était être positif, et c'était important.
Allait-elle me poser des questions sur mon passé ? Maintenant que j'avais ouvert une brèche, cela serait fort possible que je doive raconter mon histoire. Mais cela ne m'effrayait pas. Violette était mon tout, je pouvais être sûr qu'elle serait là pour moi comme je le serais pour elle.

Je restais un long moment silencieux et je me contentais de regarder Alex s’installer près de moi. Il commençait à me répondre de ce que je lui avais dit. Au plus qu’il me parlait, au plus que je me sentais soulagée. Alex voulait me mettre en sécurité de moi-même ce qui marchait. Non, il ne s’était pas trompé. Je me portais mieux s’il y a moins objets, ensuite, il survolait son passé en me disant que son histoire ne devait pas être très joyeuse.

Je finissais par déposer ma main sur la sienne avant de le regarder une nouvelle fois dans les yeux avant d’essayer de le réconforter.

- Je suis là pour toi. Il est vrai que je ne connais pas ton passé et il est vrai que j’interroge aussi sur ce qui sait passer. Je ne voudrais pas te forcer la main à me la raconter, je ne suis pas comme cela.

Je fis une petite pause et d’avoir dit cela à haute voix me semble tellement égoïste de ma part. Il était vrai que je voulais savoir son passé et ce qui le rendait aussi triste afin de changer cela. J’aimerais tellement le rendre heureux voire même de le protéger contre sa propre douleur. Alex avait également de la chance de se rappeler de son ancienne vie. J’enviais un peu par rapport à cela.

Il y avait aussi une autre question qui me vint en tête. Il était au courant que je possédais un don et je me demandais s’il en avait un lui aussi. D’habitude, je n’étais pas aussi curieuse, seulement, je voulais vraiment apprendre à le connaitre et le fait de savoir ce qui s’est passé dans sa vie humaine pouvait mieux le comprendre.

- Alex, j’aimerais tellement te voir heureux sans que tu puisses souffrir de ta vie précédente voire même te protéger de ce monde. Bon d’accord, tu dois surement connaitre plus de chose que moi.

J’avais essayé de finir ma phrase avec un peu d’humour. Je n’avais toujours pas demandé s’il possédait un don comme moi, mais je n’osais pas le lui demandé. J’essayais déjà de savoir son passé, je n’avais pas besoin de lui demander s’il possédait un quelconque don. Je lui lâchai sa main pour aller la déposer sur sa joue et de le regarder dans les yeux. Depuis qu’il m’avait adressé la parole dans la forêt, je me suis senti attiré par lui.

- Quoiqu’il sait passer, nous devrions créer notre avenir et d’essayer de laisser le passé derrière nous, enfin, ce qu’on a fait de mal. Tu as dû avoir des moments heureux ainsi que des moments moins heureux.

Je ne bougeais plus, je me contentais juste de le regarder avec un petit sourire.

Je sentais bien que, malgré le détachement dont elle semblait faire preuve dans chacune de ses paroles, elle avait une soif d'en apprendre plus sur mon passé. Et je sentais aussi que mon devoir - autant en tant qu'homme qu'en tant qu'amoureux - était de lui expliquer un peu ma vie d'avant le renouveau.
Je sentais aussi qu'elle voulait me rassurer, me mettre à l'aise. Et j'étais heureux d'avoir rencontré une personne aussi formidable et aussi compréhensive. Je gardais le silence quelques instants, cherchant les mots qui pourraient exprimer ma vie. Une fois que je les eus trouvés, je répondis :

Quand j'étais jeune, on a formé un boys-band avec mes amis. On sortait en boite ensemble, on faisait tout ensemble. Mais un jour, on est sorti bourrés, comme souvent, et elle était là. Une femme d'une beauté à couper le souffle. Elle a tué un homme devant nos yeux, et mes amis ont fuit. Mais moi, j'étais subjugué par elle et... Je l'ai laissée m'entraîner dans une ruelle et elle m'a mordu. À mon réveil, j'étais seul. Alors j'ai suivi mon instinct qui me disait d'aller chasser en forêt. Puis je suis allé voir ma mère. Mais quand je l'ai serrée dans mes bras, elle avait une odeur tellement alléchante... Je l'ai tuée.

Je gardais un silence presque mortel. Je regrettait de l'avoir tuée. Si seulement j'avais pu m'en empêcher. Si seulement ma créatrice ne m'avait pas abandonné comme un orphelin quand elle m'a planté ses crocs au plus profond de ma jugulaire. Si seulement... Tout ça était arrivé, je ne devais pas revenir dessus.
Je regardais ma douce, avant de la prendre dans mes bras. J'aimais sa froideur qui était semblable à la mienne. Cela me donna envie de terminer mon histoire, car je lui devais bien ça :

J'ai fuit ma ville et je suis arrivé à Forks. Puis, un jour, j'ai retrouvée ma créatrice. C'est une Volturi.

Je ne dirais pas son nom à Violette. Après tout, à quoi cela lui servirait ? Une fois ces mots dits, je me tut pour la laisser réagir.

J’avais beau garder le silence tout en écoutant l’histoire d’Alex, je pouvais entendre qu’il avait des amis avant sa transformation et tout perdu après. Je compatissais du fait qu’il ait tué sa mère après l’avoir serré contre lui. Sur le coup, je restais tout aussi muette, car je ne savais pas trop quoi lui dire. Je n’avais pas l’intention de lui dire quelque chose de mal. Puis, j’apprends que sa créatrice l’avait abandonné dans la ruelle, sans l’avoir expliqué ce qu’il était devenu ni lui expliquer les fameuses lois. De ce point-là, on se ressemblait tous les deux enfin un peu. Je ne sais pas après combien de temps, il avait recroisé le chemin de sa créatrice dont il ne voulait pas me donner le prénom, mais le simple fait qu’il m’annonça qu’il s’agissait une Volturi. Une légère colère montait en moi. Peut-être est-ce dû à ce qu’Edward m’avait dit sur eux qui m’avaient mise en rogne contre eux. Je ne savais pas trop le dire, car je les avais jamais croisés.

Bien que je fusse contre Alex ainsi que dans ses bras, je ne pouvais pas m’empêcher de lui dire :

- Je suis vraiment désolée de ce qui sait passer avec ta maman. Cela a dû être douloureux pour toi. Ensuite, c’est triste que tu sois dû partir ta ville en abandonnant tes amis derrière toi. Alex, tu as eu beaucoup de courage malgré de ce qui sait passer. En outre, tu es passé par des choses douleur certes, mais tu n’as plus fait de mal à aucun humain.

Je fis une petite pause tout en le regardant. Sa vie humaine avait beau être finie depuis longtemps, mais sa vie vampire pouvait être tout aussi heureuse de son passé.

- Je ne sais pas trop comment te le dire, mais tu devrais garder un souvenir de ta maman quand elle avait un sourire ainsi que tous tes moments heureux que tu as passés avec ton boys-band. Aujourd’hui et dans l’avenir, tu pourrais te fabriquer de nouveaux souvenirs et je serais avec toi. Je te le dirais autant de fois qu’il le faut.

Je finissais par déposer ma tête contre son torse et fermai quelques instants mes yeux même si j’en avais pas besoin. Ensuite, je les rouvris sauf que je ne préférais pas de parler de sa créatrice et puis il avait le droit de garder cela pour lui. Je ne voulais pas savoir s’il s’était passé quelque chose entre eux ou pas. Cela ne me regardait pas ! Je voulais être juste près de lui et de le rendre heureux.

- En dernier lieu, si j’ai bien compris de ce que tu m’as dit dans la forêt, tu ne t’aies plus nourri de sang d’humain. Tu peux la prendre pour une victoire. Tu as même été plus fort que moi, je t’en veux un peu. J’aurais voulu avoir ton courage pour reculer face à l’odeur des êtres humains.

Je ne savais plus trop quoi lui pour le réconforter, j’étais à court d’arguments pour lui faire comprendre qu’il avait eu un passé douloureux, mais que maintenant, il n’était plus tout seul. Je levais ma tête pour affronter une nouvelle fois son regard tout en oubliant de lui demander s’il possédait un don.

- Je ne regrette pas d’avoir croisé ton chemin croisant-moi

Je l’embrassai après lui avoir dit cela, tout en déposant mes mains sur son torse.

Je sentais sa colère quand je lui parlais de ma créatrice. J'avais bien fait de cacher son nom, elle aurait pu aller la tuer pour m'avoir laissé seul alors que je venais d'être mordu. Mais elle me parla d'un ton calme, et je l'écoutais en la serrant dans mes bras :

Je suis vraiment désolée de ce qui sait passer avec ta maman. Cela a dû être douloureux pour toi. Ensuite, c’est triste que tu sois dû partir ta ville en abandonnant tes amis derrière toi. Alex, tu as eu beaucoup de courage malgré de ce qui sait passer. En outre, tu es passé par des choses douleur certes, mais tu n’as plus fait de mal à aucun humain.  Je ne sais pas trop comment te le dire, mais tu devrais garder un souvenir de ta maman quand elle avait un sourire ainsi que tous tes moments heureux que tu as passés avec ton boys-band. Aujourd’hui et dans l’avenir, tu pourrais te fabriquer de nouveaux souvenirs et je serais avec toi. Je te le dirais autant de fois qu’il le faut. En dernier lieu, si j’ai bien compris de ce que tu m’as dit dans la forêt, tu ne t’aies plus nourri de sang d’humain. Tu peux la prendre pour une victoire. Tu as même été plus fort que moi, je t’en veux un peu. J’aurais voulu avoir ton courage pour reculer face à l’odeur des êtres humains. Je ne regrette pas d’avoir croisé ton chemin croisant-moi

Je hochais doucement la tête. Oui, j'avais été seul par le passé. Mais aujourd'hui, j'avais Violette et sa douceur, alors je n'avais pas à me plaindre. Je réceptionnais ses lèvres avec envie, sentant ses paumes de mains sur mon torse. Je prenais alors doucement le dessus, la faisant basculer sur mes genoux, à cheval.
Mes mains se posèrent dans son dos, la serrant tendrement contre moi. Chacun de mes gestes trahissait une envie d'elle que je ne cachais même pas. Mes doigts glissèrent sous son t-shirt, caressant sa peau sans aller plus loin. Je ne voulais pas la brusquer, bien que j'avais envie d'elle.
Si elle décidait d'aller plus loin, alors je suivrais. Mais si elle me faisait comprendre qu'elle ne le voulait pas, pas encore, alors je saurais me retenir. Je n'étais pas un violeur, et je ne la forcerait en rien. Jamais je n'avais rencontré une personne comme elle, et je ne voulais pas aller trop vite. Nous avions l'éternité.
Doucement, mes baisers descendirent dans son cou. Je déposais de tendres baisers au début, mais plus j'en faisais, plus ils se faisaient tentateurs et emplis d'envie. Je relevais la tête pour la regarder dans les yeux et lui murmurer :

Violette...

Alexander m’a mise sur ses genoux alors que j’avais simplement mis mes mains sur son torse. Il y avait une sensation bizarre qui se propageait dans tout mon corps mort, pourtant, je ne me débâtis pas. Il descendit ses baisers sur mon cou et la sensation que je ressentais devenait plus forte. C’est lorsqu’il y déposait ses paumes de mains sous mon haut, j’eus compris que j’avais envie d’aller plus loin avec Alex.

Je pouvais ressentir son regard sur moi, je finis par le regarder et je pouvais voir qu’il m’observait en murmurant sur mon prénom. Dans son regard, j’observais de l’envie. Avait-il envie de moi ? Que devrais-je lui répondre ? Je continue à l’observer jusqu’au moment où je lui demandais

- Oui, Alex ?

Je n’avais pas bougé d’eux, j’étais mise, mais en un fragment de seconde, j’eus compris ce qu’il voulait. J’eus un petit sourire et je pensais mes bras derrière son cou puis je l’embrassais. Seulement, j’avais une petite crainte, car je ne l’avais jamais fait du moins je crois. Ma mémoire me joue encore des tours, mais je ne devais plus en faire ma première priorité. Alexander est devenu ma première priorité. Je finissais par l’embrasser en signe de réponse, mais je devais bien lui répondre oralement.

-Alex, j’ai tout aussi envie que toi.

Je mis à nouveau une main sur son torse en le poussant en arrière, ce qui me fit tomber également. Je me retrouvais dessus de lui et je ne savais pas comment réagir.

J’avais laissé Alexander faire, mais mon regard ne le quittait pas. Lorsque ses mains furent enlevées mon haut, la gêne était bien présente en moi, mais je n’en dis rien. Je savais que je pouvais lui faire confiance. Pour toute réponse, j’allais lui rendre son baiser sauf que j’en profitais aussi pour en faire sorte que son dos s’éloigne un peu du lit. Tout en attrapant son haut, je le lui enlevais lentement afin de faire durer un plus long moment. Jusqu’au moment où j’en lançais son haut quelque part dans la pièce.

Je l’observais un petit moment sans rien, puis j’allais glisser un doigt le long de son torse tandis que j’allais mordre ma lèvre inférieure comme si j’étais en train de me retenir. Me retenir de quoi. Je l’ignorais moi-même. Lorsque mon doigt arrivait à la hauteur du pantalon d’Alex, je le retirais. Je fais en sorte que son dos retourne sur le lit et je mis mes mains sur les deux côtés de sa tête puis j’allais l’embrasser une nouvelle fois.

Après l’avoir embrassé, je me dirigeais vers son cou tout en continuant, mais baisés. Je finis par relever légèrement ma tête afin de lui dire dans un murmure sensuel

- Alex, je crois que tu devrais me guider ou de prendre le relais, car je suis novice dans ce domaine. J’ignore si tu as plus d’expérience que moi…