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#1
Dim 22 Jan 2017, 22:34
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Qu'y avait-il de mieux que la solitude ? Ce calme qui prenait place lorsque je pensais, lorsque je travaillais, lorsque je buvais. C'était tellement reposant, j'aimais ce calme. J'étais seul, dans mon bureau, à feuilleter les différents livres de photos de mes mannequins. Je posais mon regard rouge sur les différentes photos, les différentes poses, et je dois avouer qu'elles étaient toutes réussies. J'avais une bonne photographe, et je ne parlais pas que de son talent à prendre des photos. J'avais en effet eu une relation charnelle, voire même plusieurs, et je ne le regrettais pas. Elle était belle, sensuelle, et elle aimait les aventures qui ne duraient pas. Une femme parfaite pour un gars comme moi, n'est-ce-pas ? Elle était devenue une amie, et quelques fois, nous nous retrouvions chez elle ou chez moi afin de profiter de quelques amusements entre nous. C'était plutôt sympathique, de vivre ainsi. De profiter de sa beauté et en faire profiter de belles jeunes femmes, comme Chloris. C'était donnant donnant, non ? Oeil pour oeil, dent pour dent, dirons-nous.
Je regardais l'extérieur à travers une vitre, les gens passaient, pressés de rentrer chez eux. Encore une demi-heure, et ensuite je pourrais aller me nourrir. Je m'étais renseigné, il y avait un groupe de randonneurs - des touristes, encore - qui allait partir de Volterra, en Italie, afin d'aller escalader quelques façades de pierre. Je ne chassais pas par ici, c'était bien trop risqué, j'étais connu. Mais à Volterra, j'étais un touriste parmi tant d'autres, et puis j'aimais bien voyager. Je me servis un autre verre du liquide ambré que je gardais dans mon salon, avant de ranger la bouteille de Jack Daniels dans son placard. Je n'aimais pas abuser de l'alcool, car même si je n'en ressentais pas les effets, une bouteille coûtait un certain prix. Même si l'argent n'était pas un problème pour moi, je n'aimais simplement pas débourser des sommes astronomiques pour une simple bouteille d'alcool qui ne me rendait même pas saoul. Je regardais l'heure, il était temps d'y aller, sinon je louperais le groupe. Je me levais et quittais mon appartement.
Direction Volterra et son immense forêt. Je courrais à en perdre haleine - si j'avais pu respirer, bien entendu. Je savais que je devais me dépêcher, et je faisais ceci. J'arrivais assez rapidement à l'orée de la forêt italienne, où une odeur d'humains toute fraîche me guida jusqu'à eux. Mais une autre odeur fit son apparition. Un fumet de vampire sanguinaire, certainement une femme, étant donné que l'odeur était assez douce, venait de m'arrêter net. Je n'étais donc pas seul ? Bon, je devrais d'abord voir avec qui je partageais ce groupe avant de me décider. Je zigzaguais entre les arbres en suivant l'odeur de l'autre vampire jusqu'à tomber sur une créature des plus délicieuses. Blonde, fine, sexy, tout simplement. Et je n'hésitais pas pour m'approcher et entamer la conversation, comme bon gentleman que j'étais :

Bien le bonjour. Si on m'avait dit qu'une aussi belle vampire était ici, je serais venu plus tôt. Je m'appelle Jack Holloway, enchanté. Et vous ?

Elle devait tomber dans mes bras. Je devais la séduire.
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#2
Dim 22 Jan 2017, 23:49
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Athenadora qui comme a son habitude était dans la foret de volterra son endroit favorit, son unique repere,elle voulait échapper a la vie a volterra Belle était trop imposante et lui posait trop de question elle avait besoin de se ressourcer .
Elle qui était une femme belle comme un diamant et discrète, était poser dans un coin, de la foret lisait un livre, quand elle entendit quelqu' un, elle leva la tète et regarda l homme qui venait de s approchez il disait qu' il s appelait Jack Holloway elle sourit et lui répondit

-Ne vous fiez pas au apparence mon cher, je suis certes belle mais vous ne me connaissez pas, mais je vais quand même, me présentée je m appelle Athenadora Volturi,que venez vous faire par ici Mr Holloway ,je ne vous ai jamais vue êtes vous du coin, et ne me dite pas pour moi car je ne vous croirait pas

elle se leva frôla l homme en question et disparu près d un arbre, et si posa, elle y resta cachez, mais il la retrouverait surement son odeur était trop présente ici, elle repris son livre et se Remi a lire, mais une autre Odeur, la dérangea s'agissait il de Jack Holloway cela reste a voir elle resta dans son coin et attendis de voir qui s approchait .
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#3
Lun 23 Jan 2017, 06:54
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#000000]]Sapristi, elle était vraiment des plus belles. On lui aurait donné le bon Dieu sans confession, si vous voulez aller par là. J'en avais vues des femmes sexy, et elle faisait largement partie du top 3. Elle affirma que je ne devais pas me fier aux apparences, que je ne la connaissais pas. Puis elle se présenta, Athenadora Volturi. À l'entente de ce nom, je compris qu'elle faisait partie de ces vampires surpuissants qui se croient tout permis. Mais elle n'avait pas l'air d'être comme eux, ou alors elle cachait bien son jeu. Lorsqu'elle me demanda si j'étais du coin, je hochais négativement la tête. Je venais de plus loin, elle le saurait bientôt. Elle me demanda ce que je faisais là avant de fuir dans un coin pour lire. Je la suivais aisément, car ce n'était pas très poli ce qu'elle faisait. Je m'appuyais contre l'arbre de façon nonchalante avant de prendre la parole pour lui répondre, un rictus amusé sur le visage :

Je venais ici pour chasser, puis j'ai senti votre odeur. Je m'excuse si j'ai été impoli, Mademoiselle. J'ai suivi votre odeur et en vous voyant, j'ai cru voir une des sept merveilles du monde.

Un peu de charme, cela ne faisait pas de mal. Je voulais voir si elle serait une proie facile ou non. Tout dépendrait de sa réponse, de ses gestes, de son attitude. Elle ne tomberait peut-être pas aussi facilement dans mes bras, mais j'essayais tout de même. Passer à côté d'une si belle femme ? Impossible. Je devais tout mettre en oeuvre pour l'avoir. Quitte à attendre des années, j'étais immortel, je pouvais prendre tout mon temps. Je souris avant de passer un doigt sur sa joue, approchant mon visage du sien. Et murmurait à son oreille qu'elle était belle avant de frôler ses lèvres avec les miennes. À elle de voir si elle voulait m'embrasser ou non.[/justify]
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#4
Lun 23 Jan 2017, 07:19
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Athenadora,souri en en l entendant lui dire qu' il avait cru voir l une des 7 Emme merveille du monde, puis il lui toucha la joue en murmurant qu'elle était belle avant d essayer de l embrassez, elle savait qu' il était sous son charme mais si jamais il essayer de l embrassez il devra se resigner a rester près d'elle elle lui rendit son baiser avant de le regarder dans les yeux et lui dire

-Vous êtes sur de se que vous faite savez vous que si vous continuer a m embrasser je risquerai de vous condamner a rester avec moi car je ne supporte pas les homme volage.

Athenodora avait touchez le gros lot un belle homme pour elle seule espérons qu' elle ne se soit pas tromper sur son compte, la souffrance elle la connaissait déjà assez, elle ne voulait pas souffrir d avantage.

- vous êtes bien directe avec moi mais sachez que je suis une femme je ne ressemble en rien au autre vampire de Volterra Mr Holloway,je sais juste que vous essayer de me charmer sa fonctionne, mais je ne suis pas une proie a qui on peut faire du rentre dedans, pour une histoire sans lendemain.

Athenadora était une femme très belle que tous le monde voulais mais il ne fallait jouer avec qu'elle car elle était très  elle fragile en somme, elle regarda Jack dans les yeux.

-Soyez sincère avec moi et je le saurait avec vous Mr Hollway,car je ne supporte pas les coureur de jupon.

Athenadora retourna a sa lecture en attendant la réponse, de Jack,il allait lui répondre cela ne ferait aucun doute
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#5
Lun 23 Jan 2017, 20:30
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Elle me demanda s'il était sûr de vouloir l'embrasser, car selon elle, si je faisais cela, je serait condamné à rester auprès d'elle pour toujours. C'était mal me connaître, car je ne cherchais pas vraiment de relation stable. Pourtant, son caractère assumé me plaisait, et je trouvais en elle une femme qui pourrait me rendre heureux. Elle continua de me faire la morale, affirmant qu'elle n'était pas comme les autres vampires de Volterra, et cela me rassurait. Elle affirma aussi qu'elle n'était pas une femme à qui faire du rentre-dedans, ni d'une histoire sans lendemain. Eh bien, elle était bien tombée, car je sentais qu'après d'elle, je serais bien différent de celui que j'étais maintenant. Mon doigt glissa de nouveau sur sa joue traçant une courbe qui partait de son oreille et tombait sous son menton. Après qu'elle m'ait dit d'être sincère avec elle, et qu'elle le serait avec moi, je vins déposer un baiser plein de tendresse sur les lèvres rosées de la vampire. Je voulais non seulement la séduire, mais aussi l'aimer. Elle replongea dans sa lecture, et je recommençais à parler dans l'espoir qu'elle lâcherait son livre dans lequel elle me paraissait inatteignable :

Vous savez, j'ai beau être agent de mannequins, aucune des autres ne vous arrive à la cheville. Vous êtes vraiment... Splendide. Mademoiselle Volturi.

Je posais mes doigts sur la surface légèrement rugueuse du livre et l'ôtait des mains de ma nouvelle interlocutrice. Elle n'en aurait pas besoin, pour l'instant. Mes mains, fortes et masculines, se firent douces et tendres pour la remonter face à moi. Lorsque, avec toute la douceur dont j'étais capable, je l'eus remise debout, je vins coller mon corps contre le sien, l'appuyant contre l'arbre. Je déposais un premier baiser sur sa joue, puis sur sa mâchoire, et continuais ainsi de descendre en direction de sa gorge. Pourtant, arrivé à son menton, je remontais pour lier une nouvelle fois nos bouches pour un baiser plus prononcé, plus sensuel. Autour de nous, le vent nous apportait des odeurs d'humains que j'arrivais sans peine à mettre de côté, me concentrant sur la belle femme qui me tenait compagnie. Mes mains s'étaient posées délicatement sur ses hanches, après avoir presque imposé, toujours en douceur, que les siennes s'enroulent autour de mon cou. J'aimais cette proximité, mais je reculais de quelques centimètres pour plonger mon regard dans le sien afin de lui murmurer, ma voix pleine d'une envie que je ne cachais pas :

Mademoiselle Volturi, je dois avouer que même si je suis un coureur de jupons, je ne suis pas prêt de vous laisser de sitôt.

Ma main droite glissa sur sa cuisse, mon ongle déchirant légèrement son bas. Bon, je n'aurais qu'à lui en racheter un autre. Je mordillais sa gorge tout en offrant à sa peau satinée de délicates caresses au niveau du haut de sa jambe.
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#6
Mar 24 Jan 2017, 17:34
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Jack enleva le livre de la belle vampire qui se senti relever en douceur puis plaquer contre un arbre, il m affirmais qu' il me lâcherais pas de sitôt, même avec des humain qui trainait dans les parage il n avait aucun mal a se concentrer sur la belle volturi cela lui plaisait et il continua de l embrasser jusqu'à caresser le haut de sa jambe cela était exquis

-Vous êtes près a rester au près de moi ses une première pour vous car les homme croient que je suis un jouet avec qui il pourrait s amuser et me laisser tomber le lendemain vous êtes bien diffèrent croyez moi

Athenadora se sentait revivre si elle avait un cœur elle le sentirai cogner dans sa poitrine, se sentiment d être aimer était bien nouveau pour elle, qui aurai cru que la belle trouverai quelqu un de doux et d attentionner personne a mon avis.

- Agent de Mannequin dit vous Quesque c est au juste un sorte de concours de beautés pour femme, sa ses sur que aucune ne m arrive a la cheville mais je suis sur que vaut mannequin son plus belle que moi je ne suis qu' une ancienne reine a qui on a fait du mal mais ceci et mon passe mais vous êtes vous mon futur sa je l ignore encore mais si vous voulez être heureux je serai la pour comble le vide qu' il y a en vous enfin ses mon avis qu' elle est le votre?

Athenadora le releva en douceur et l embrassa de nouveau sans gène, quelque humain regardait la scène avec bonheur mais ils décidèrent de continuer leur chemin, si il savait que nous étions de vampire il serait déjà mort.

-Mais vous me sembler bien solitaire pourquoi vous ne vous trouvez pas une compagne pour le reste de votre éternité cela comblerai votre vie non?

Athenadora savait que trop bien ce qu' était la solitude et l éternité seul elle ne cherchait que le bonheur de vivre son éternité a fond, car la solitude n amenait rien de bon la preuve elle faisait n importe quoi elle aimait se mettre en danger, mais avait toujours peur de tomber sur quelqu un de malhonnête, comme se qui lui était arriver enfin sa ses du passer.
elle l embrassa de nouveau elle pourrait faire sa des jour et des jour mais était ce la bonne personne elle le savait pas mais peut être lui répondrat il
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#7
Dim 29 Jan 2017, 22:55
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Alors comme ça, j'étais une première ? Eh bien, ce que les vampires peuvent être stupides parfois. Était-ce possible de faire du mal à une aussi belle femme ? Apparemment oui, selon les dires de cette victime des hommes. Je passais un doigt dans ses cheveux, je n'étais pas comme ces autres qui ne voulaient que son corps. Elle était en train de me changer. Moi, le coureur de jupons, le dernier à vouloir se mettre en ménage, voilà que je rencontrais une femme pareille et que je me voyais déjà vivre ma vie dans ses bras. C'était sûrement stupide, idyllique, mais en même temps tellement vrai. Elle enchaîna par une question rhétorique, ayant devinée elle-même en quoi consistait mon métier, en gros. Je hochais la tête pour lui répondre, tout en l'écoutant continuer. Elle était une ancienne reine ? Et quelqu'un avait été assez stupide pour lui faire du mal ? Quelle bande de pauvres vampires sans cervelle. Elle termina par me dire qu'elle serait là si je désirais être heureux, et me demandait mon avis. Je me contentais de répondre d'une voix posée et tendre :

Je pense que tout homme doit avoir une femme, et vice versa. Je serais honoré que vous soyez mienne.
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#8
Lun 30 Jan 2017, 00:07
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Athenadora fut surprise que cet homme, veuille d'elle car elle était assez fragile et les hommes était tous aussi ignoble avec qu'elle mais celui ci venait, de changer le point de vu de la jeune femme.
il lui disait que tout homme doit avoir une femme, et vice versa. Ce-ci n'était pas faux et elle le regarda dans les yeux et sourit "Je serais honoré que vous soyez mienne" avait il dit avec une douceur sans précèdent et elle lui répondit:

-Je serait honorée que vous soyez mien vous êtes, la gentillesse incarner et je pense que nous pourrions vivre l'éternités ensemble sans que personne ne vienne nous déranger.

Athenadora passa ses main autour du cout de Jack et l'embrassa elle l'aimait lui aussi l'aimait, la belle vampire le savait que cela arriverait mais la rendra t-il heureux réussira t'il a lui faire oublier la malchance qu'elle a put rencontrer avec les autres réussira t-il la ou beaucoup on échouer.

-Etes vous sur de votre choix car je ne veux pas souffrir de nouveau ses trop dur de se dire que l'amour ne fonctionne pas ou que l'êtres aimer se fiche complètement de vous avez vous déjà vécus sa Jack.

Athenadora voulait tous savoir pour êtres sur de pas s'être tromper car les sentiment de cette dernière était bien plus fort qu'elle ne pouvait l'imaginer mais une chose et sur ses qu'il lui répondra car elle en est certaine il l'aime et elle aussi.
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#9
Mer 05 Juil 2017, 11:20
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Elle m'enlaçait, m'embrassait, et moi j'étais de plus en plus heureux. Mais elle me demanda, une nouvelle fois, si j'étais sûr de moi, si je ne le regretterait pas. Elle craignait de souffrir de nouveau, car l'amour pouvait faire mal quand l'une des deux personnes ne se souciait pas de l'autre, qu'elle l'ignorait ou lui faisait volontairement du mal. Je ne connaissais pas vraiment cette situation de douleur, et je lui disais, mais je ne lui ferais pas de mal. Elle n'était pas une femme à qui on pouvait faire du mal, après tout elle était plutôt gentille et belle, qui voudrait lui faire du mal ? Les hommes ou les vampires qui ne voulaient que le pouvoir, ainsi qu'avoir une belle femme à leurs côtés pour faire bonne figure, sans doute. Mais je n'étais pas comme ça, le pouvoir m'intéressait bien entendu - qui ne serait pas intéressé par le pouvoir ? - mais pas au point de blesser une femme comme elle. Mes mains se pressèrent sur sa taille, tandis que je l'embrassais de nouveau. Oui, bien entendu, j'étais absolument sûr de mon choix, sinon je serais certainement déjà parti. Mais elle devait sans doute l'entendre, encore une fois, pour être rassurée.

Oui, Athendora, je suis sûr de vouloir rester.

Je terminais cette conversation par un baiser passionné sur ses lèvres.

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