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Invité
#1
Mer 01 Fév 2017, 19:32
Anonymous
Invité
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Jacksonville et ses quelques 842 583 personnes m'attiraient aujourd'hui. Cette ville du Sud-Est des USA regorgeait de millions de jeunes femmes et sans doute d'une grande partie de futures mannequins. Et c'est justement pour ça que j'étais en train de parcourir les rues de cette immense ville. Pour recruter quelques mannequins. Celles que j'avais déjà prenaient leur envol, travaillant d'elles-même. Et c'était positif, parce que je pouvais ainsi former de nouvelles demoiselles à devenir de parfaites femmes dans le monde de la mode. Fallait bien renouveler son stock, non ?

Alors j'étais ici en repérage, je prenais des photos comme un touriste, alors qu'en réalité, les sujets de mes images étaient, bien entendu, les femmes que je trouvais les plus belles. Par la suite, je rentrerais chez moi, je regarderais mes photos, je ferais ma sélection et je retrouverais les femmes que j'avais choisies de garder. J'observais les plus beaux monuments avec l'attention d'un professionnel, car en effet, j'étais un pro. Mes prunelles rouge captaient l'attention de certaines, et je leur souriait. Elles me rendaient mon sourire avant de passer leur chemin. Parfait.

J'avançais dans la rue, tournant parfois à droite ou à gauche, en profitant pour entrer dans quelques magasins d'alcool, afin de refaire le stock. Et c'est justement en sortant d'un de ces magasins que je la vis. C'était vraiment la perle rare, cette femme. Ni une, ni deux, je sortis mon appareil. Son odeur vint à moi et je devinais sans peine qu'elle était une sorcière. Alors je décidais de tenter le tout pour le tout et de m'approcher. Elle était brune, avec un visage assez allongé et elle était grande. Un atout, dans le vaste monde du mannequinat. Je souris avant de parler :

Bonjour mademoiselle.

D'abord je voulais voir si elle était plutôt du type frigide et solitaire, ou si, au contraire, elle avait le profil parfait pour une mannequin.
Invité
#2
Mer 22 Mar 2017, 12:10
Anonymous
Invité
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C'est donc comme ça qu'est devenu le monde ?



Elerinna ne pouvait pas continuellement rester dans sa maison. Cette bâtisse cacher dans la forêt par un sort très puissant. Il fallait qu’elle aille découvrir, qu’elle sort de chez elle et découvre comment le monde était. Oh, elle savait, elle avait « vu » toutes ses décennies se passaient sous ses yeux et c’était l’incompréhension. A son époque les femmes n’étaient pas considérées, à l’époque actuelle, c’est tout le contraire. Enfin, dans une certaine variante. Les femmes ont le droit de faire des travails d’hommes, elles ont le droit de s’habiller comme des femmes de petites vertus et la technologique les a séparés au lieu de les rapprocher. Au cours de ses siècles, elle avait vu les essors de la technologiques, faites pour aider, pour rassembler, pour protéger…Mais combien de personnes étaient mortes par fautes de cette même technologie ?
Elle dû d’abord se rendre dans une boutique qui pourrait la rendre plus moderne, pour pouvoir trouver un costume qui la ferait devenir une autre. Elle ne supportait pas voir ces shorts et diverses jupes et courtes, ça n’était pas ce qu’elle voulait, ni ce qu’elle était. Porter ce genre d’habits c’est montré une facette de soit aux autres. Elerinna refusait qu’on la pense femme de petite vertu. Elle était la sorcière la plus âgée de ce monde, certainement la plus puissante, alors elle avait autre chose à faire que de montrer ce genre d’image.
Elle n’était pas parfaite et Elerinna savait qu’elle devait se nourrir. Elle avait été damner et se nourrir de sang était sa pénitence, mais elle avait trouvé une échappatoire. A l’époque de sa malédiction, les vampires, les loups et autres créatures magiques n’existaient pas ou très peu, lui faire boire le sang de ces créatures étaient donc compliqué. Pour cela, elle s’était plongé dans un sommeil magique, lui permettant de vivre, de voir, mais plus d’interagir dans le monde. A présent, les créatures magiques étaient si présentes que sa malédiction ne serait plus un problème.
Un pantalon noir, un chemisier blanc, une queue de cheval et elle sortit de la boutique, main dans les poches pour tenter de percer le secret du bonheur actuel. Elle voulait comprendre la subtilité des petits esprits qui peuplaient le monde.
Elle observait les fourmis prendre place dans ce monde quand quelque chose la titilla. Elle regarda autour d’elle avancer de poser son regard sur un homme aux yeux rouge. Il avait ce que le monde appelle un appareil photo et quand il la vit, il commença à s’approcher. Aussi, poussé par la curiosité, elle attendit.
Il ne se présenta pas, il n’avait pas les manières avec lesquelles, elle avait eu l’habitude d’être traitée. Elle le regarda, avec insistance de haut en bas avant de croiser les bras sous sa poitrine.
- Laissez-moi devinez. Vous prenez des photos de vos futures victimes et vous les traquez ? Ça n’est pas très discret si je puis me permettre.
Elle n’était pas froide à proprement dit, elle n’était pas non plus joviale. Elle était détachée de tout ce qui faisait le monde actuel et lui, il en était un bon produit.
- Depuis quand un homme ne salue-t-il plus convenablement une dame ? Vous avez l’éternité devant vous, vampire et vous vous en servez de cette manière ? N’avez-vous eu aucune éducation venant d’un immortel ?
Elle l’était elle-même, immortelle. Du moins, c’est ce qu’elle aimait à se dire. Elle était un être plus vieux encore que les rois des vampires. Elle n’avait rien à perdre et rien à gagner.
- Que me voulez-vous ? Votre odorat pour a pourtant dit que je n’étais pas une simple humaine, pourquoi venir tenter le diable ?
Elle était curieuse. Un léger rictus perla ses lèvres rouges. Elle voulait en savoir plus sur celui qui lui ferait don de son sang. Elle voulait en savoir plus avec le premier vampire qu’elle croisait. Elle voulait tout découvrir.



lumos maxima
Invité
#3
Mer 05 Juil 2017, 11:12
Anonymous
Invité
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Laissez-moi devinez. Vous prenez des photos de vos futures victimes et vous les traquez ? Ça n’est pas très discret si je puis me permettre. Depuis quand un homme ne salue-t-il plus convenablement une dame ? Vous avez l’éternité devant vous, vampire et vous vous en servez de cette manière ? N’avez-vous eu aucune éducation venant d’un immortel ? Que me voulez-vous ? Votre odorat pour a pourtant dit que je n’étais pas une simple humaine, pourquoi venir tenter le diable ?

Oh, eh bien... Une femme avec du caractère, apparemment. Juste le profil idéal pour faire du mannequinat. Elle ne se laisserait pas marcher sur les pieds, mais en même temps, j'étais certain qu'elle saurait aussi faire la part des choses. Je passais une main sur ma manche de manteau, avant de ranger mon appareil photo. Elle se fourvoyait, je n'étais absolument pas en train de constituer un quelconque tableau de chasse, ou du moins pas dans ce sens-là. Je constituais une probable idée de mes futures mannequins, plutôt. C'est ce que j'affirmais :
Je prends principalement des photos de belles femmes comme vous pour choisir qui pourra porter la future collection d'été. Qui plus est, je vous ait saluée. Certes, sans me présenter, et je m'en excuse mademoiselle. Je m'appelle Jack Holloway, je suis manager pour mannequins. Je ne tente aucun diable, ou du moins si vous en êtes l'incarnation, alors peut-être devrais-je signer un pacte avec vous ?
L'ironie, présente parfois dans mes paroles. Quoi de mieux pour détendre l'atmosphère ? Bon, d'accord, un verre, ou une nuit de folie, ça pouvait aussi détendre, je l'avouais. Mais cette femme n'était pour moi qu'une possibilité de présenter une nouvelle mannequin qui porterait une collection de vêtements. Rien de plus, une femme parmi tant d'autres, en soi. Mais ça, je ne le dirais pas, ce n'étaient pas des manières. Elle voulait voir un gentleman, je savais faire. Il suffisait simplement de demander, en fait. Alors je me permis de me comporter de la sorte, à mes risques et périls.
J'attrapais sa main pour la porter galamment à mes lèvres. J'y déposais un baiser, me penchant un peu en avant. Puis je la relâchais lentement, mes prunelles rouges se plantant dans celles de la sorcière. Un vrai petit ange, dirons-nous, si on ignorait que j'étais un tueur. Ma main rejoignit ma poche, tandis que les humains continuaient de passer autour de nous. Je montrais un bar situé de l'autre côté de la rue, lui proposant - toujours avec des termes bien choisis, très galants - d'aller boire un verre. C'était une bonne idée pour faire connaissance, non ?
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