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Invité
#1
Dim 17 Juil 2022, 19:01
Anonymous
Invité
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Le soleil se dirige tranquillement vers son zénith, dans un ciel légèrement couvert, des petits nuages gris se déplacent lentement. On allait peut être avoir de la pluie en fin de journée.
Je me promène tranquillement, en restant attentif à mon environnement car j'étais à la limite de mon ancien territoire et je n'avais vraiment pas envie de croisé un ancien compagnon et encore moins, mon ancien Alpha.
Ma relation avec Jacob était extrêmement tendue et ma dernière rencontre avec lui n'avait rien arrangé, ça avait même empiré. C'était bien simple, si nous étions amené à nous croisés, il y avait de forte chance qu'on se batte car ma partie lupine ne pouvait pas lui pardonner sa trahison et sa lâcheté.
Je n'avais même pas prit la peine de l'avertir que je quittais la meute pour en fondé une nouvelle avec Tanaya.
Depuis, j'avais l'impression d'être  vraiment libre, je reprenais plaisir à prendre ma forme lupine sans me soucié de mes pensées ou de mes souvenirs. On était arrivé sans vraiment savoir comment, à ce que chacun puisse avoir et garder un petit jardin secret, sans devoir y prêter attention.
Et croyez moi, que ça fait un bien fou quand on a comme moi,des souvenirs qu'on préfère garder pour soi....
Bien que je ne voulais plus rien faire avec Jacob, Je passais toute même, les nuits avec ma belle, qui se plaisait bien à la Push.
Dès les premiers rayons du soleil  se pointaient, je quittais discrètement ma petite rose des vents.
Je sais qu'elle vis un peu mal cette situation mais pour l'instant, je ne voyais pas vraiment ce que je pouvais faire d'autre. Il allait falloir attendre que je digère un peu ou qu'on aille habiter autre part mais je ne vois pas vraiment où on pourrai aller.
J'étais vite passé chez les Cullens, discuter un peu avec Esmée, qui en avait profité pour me donner un peu ( beaucoup ) de nourriture, au cas où j'aurai une petite faim durant la journée.
J'avais souris légèrement mais j'avais accepté. Je mettais fort rapprocher d'Esmée; je l'aidé à maitriser sa soif de sang humain, sans aucun jugement; Elle avait été la seule, avec Jasper,  à ne pas m'avoir fait de reproches d'avoir voulus m'isoler  pour apprendre à me connaître.
Donc me voilà en route pour mon territoire, tranquillement. J'avais hâte d'y être car je savais que je serai moins tendus.
J'arrive à proximité d'une petite grotte, dont l'entrée est dissimuler par des buissons. Je l'avais trouvé lors d'une mes promenade. Je dépose rapidement mon sac et je repars patrouiller tranquillement.
Je prends une bonne inspiration et je prends mon forme loup, avant de partir tranquillement en trottinant.
Soudain une légère brise m'apporte les odeurs de la forêt et notamment des molécules lupines inconnus et de sang sécher.
Ne sachant pas à qui elle pouvait appartenir et que peut être cette personne avait besoin d'aide, je me dirige vers la provenance des molécules.....;
Invité
#2
Ven 22 Juil 2022, 00:24
Anonymous
Invité
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Il dormait profondément, essayant de ne pas toucher les rebords de sa cage. Il ne rêvait pas, son esprit était vide, il récupérait seulement des blessures qu'il avait eu la veille. Ils l'avaient tiré de sa cage, pour l'emmener dans une grande pièce froide. Là, ils s'étaient amusés à le frapper avec différents objets. Un fouet, pour commencer, puis une cravache, une batte classique, une batte enroulée dans du barbelé, une ceinture... Son dos était couvert de marques, de plaies qui ne cicatrisaient pas. Cela faisait des jours qu'ils le torturaient, et il commençait à s'habituer à être battu. Il finissait par ne plus rien dire. Il se contentait de subir, en serrant les dents. Il ne connaissait rien d'autre, il n'avait rien vécu de plus, alors cela ne lui importait plus. Il n'avait personne, aucune famille, aucun ami, personne à qui manquer. Sa cage s'ouvrit, le tirant en sursaut de son repos - presque - compensateur. Il posa ses yeux sur les hommes en uniformes, qui l'attrapèrent chacun par un bras sans ménagement. Il sentit une blessure se rouvrir, mais n'y prêta pas attention.

Encore une fois, il fut emmené dans cette foutue pièce sombre. Il commençait à être habitué, alors il ne fit même pas attention à ceux qui étaient présents. Il savait qu'ils étaient toujours cinq, et qu'ils allaient à tour de rôle se mettre sur son dos. Il gardait les yeux au sol, jusqu'à sentir le métal sous son postérieur. Il releva alors les yeux, se rendant compte qu'on venait de l'asseoir sur une chaise bien différente que celles d'avant. Il sentit des plaques de métal se refermer sur ses poignets, l'enfermant sur cette chaise maudite. Il essaya de se dégager, comme si son instinct lui disait qu'il en était capable. Il avait beau se débattre comme un diable, ses mains étaient déjà trop grosses pour franchir la barrière métallique vers la liberté. Des rires échappèrent à ses tortionnaires, qui prenaient un malin plaisir à le voir souffrir. Les larmes s'échappèrent, il craignait tellement ce qui allait lui arriver. Un homme s'approcha, un cigare entre les dents. Il lui souffla sa fumée directement en plein visage, le faisant tousser violemment. Il rit, puis parla à son attention, d'une voix gutturale :

Ne cherche pas à t'échapper, c'est impossible.


Il fit ensuite un signe à un autre homme, qui tourna un bouton. Il entendit un léger bruit, puis dans tout son corps une décharge puissante se fit ressentir. Mais alors qu'il pensait qu'il était condamné, il se sentit soudainement changer. Ses muscles grossirent, venant jusqu'à détruire les barres de métal qui l'emprisonnaient. Il sentait, en lui, ses os bouger, pour prendre finalement un squelette animal. Il souffrait, le martyr, mais cela ne dura que très peu. Il se laissa complètement aller, le lupin en lui donnant des coups de pattes et de crocs, tuant les cinq ravisseurs. Il enfonça sans difficulté la porte, passant dans chaque couloir, chaque salle, tuant les méchants et libérant les prisonniers. Les kidnappés prenaient en charge les natifs, ils s'entraidaient tous. Thibault, quant à lui, sortit enfin au grand jour. Le soleil lui brûlait les yeux, mais il n'en avait que faire. Il courrait, prenant enfin sa liberté sans comprendre ce qui lui arrivait. En très peu de temps, il trouva le réconfort d'une forêt, et se dénicha une grotte. Sur son dos, il le sentait, ses plaies étaient encore béantes.

Il entra dans une grotte, par chance vide, et s'y installa. La transformation lui revenait sans cesse en tête, mais il n'en tirait aucun point négatif. Il était libre, c'est tout ce qui comptait, n'est-ce-pas ? Il avait faim, terriblement faim, mais quand il essaya de se relever, ses pattes flanchèrent sous son poids. Il s'écroula au sol, dans un semi-coma.
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Invité
#3
Jeu 23 Fév 2023, 17:49
Anonymous
Invité
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Je me dirige tranquillement en direction de l'odeur inconnu et de sang sécher que j'avais senti quelque instants plus tôt. La piste me conduit jusqu'à une petite grotte.
J'y pénètre lentement,  tout en restant attentif à mon environnement,  ne sachant pas ce que je pourrai rencontrer.
Je ne mis pas longtemps pour découvrir un loup en très mauvais état.  Immédiatement je m'approche lentement afin de vérifier qu'il était encore vivant. Apparemment,  il respirait encore. 
Je jette vite un coup d'œil à l'intérieur de la grotte car dans son état,  il n'était pas capable de marcher jusqu'au domaine d'Okita, ni même jusqu'à l'hôpital.  Et puis je ne sais pas qui l'a mit dans cet état et est ce qu'il était poursuivit ? J'en avais aucune idée et pour le moment,  je dois dire que j'en avais rien à foutre,  ma seule préoccupation de m'occuper du loup. Même si j'avais été entraîné pour être un assassin sans aucune pitié, ce  n'est pas dans mon caractère de laisser quelqu'un qui avait besoin d'aide.
Je rassemble vite fait un tas de feuilles et de mousse pour en faire un fin matelas, dans le font de la grotte. Une fois fait, je passe très doucement un bras sous le loup,  en prenant bien soin d'y aller avec  le dos de la main. J'avais pris soin de recouvrir mon bras d'une fine pellicule de gel,  afin que l'inconnu ne ressente pas le contact comme une menace.  Très délicatement, je le soulève et le dépose doucement sur le matelas végétales.
Je remarque qu'il avait du subir des sévices corporelle assez importants,  vus les blessures et les cicatrises qui recouvraient son corps  et j'imagine assez facile qu'il n'avais pas du manger à sa faim tout les jours.
Je décide de retourner à la grotte où j'avais laissé mes affaires et notamment de la nourriture car il y avait fort à parié que l'inconnu soit affamé à son réveil et ait besoin de soin.
J'y vais vite fait, tout en prenant bien soins de ne laisser aucune trace au cas où des poursuivants seraient à la recherche du loup. J'espère pour eux que nos chemins ne se croiseront pas car je ne suis pas vraiment sûr qu'ils sortiront vivant.
Une dizaine de minutes plus tard,je suis de retour. Je mes deux trois plats près du loup, ainsi qu'une grand plat avec de l'eau,ne sachant pas s'il va reprendre sa forme humaine. Je lui met aussi un pantalon et un t-shirt à proximité.
Je vérifie quand même certaines de ses blessures et j'applique une pommade cicatrisante à base de plante que j'ai fabriquer  sur celles qui me semble les plus préoccupantes, malgré la capacité d'auto régénération des modificateurs.
Une fois fait, je m'installer confortablement contre la parois de la grotte, à une bonne distance de mon interlocuteur.
J'écoute la nature,tout en restant attentif à mon environnement, en attendant une réaction de mon interlocuteur....
Invité
#4
Mar 28 Fév 2023, 02:10
Anonymous
Invité
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Son corps n'était plus qu'un tas de muscles et de poils sans forme précise pour les moins connaisseurs. Son esprit humain n'était de toute façon plus vraiment conscient. Le loup avait pris le dessus il y a quelques dizaines de minutes déjà, et il se sentait presque comme... En sécurité ? Ce sentiment dont il avait tant besoin était-il une illusion, ou bien était-ce réel ? Plongé dans ce semi-coma par son propre corps, Thibault n'en restait pas mojns alerte. Incapable de se défendre s'il se faisait prendre, il eut néanmoins le réflexe de réanimer difficilement le peu de conscience lupine qui lui restait quand il sentit cette présence. Il s'assura en quelques secondes qu'il ne s'agissait pas de ses ravisseurs, avant de se détendre à nouveau. Le bruit des feuilles et de la mousse l'aida grandement, avant de sentir la présence de l'inconnu à l'odeur étrange s'approcher. Ses crocs se dévoilèrent d'eux-mêmes, comme une simple menace pas crédible du tout. Pour preuve, le drôle de personnage continua de s'approcher jusqu'à le porter avec douceur sur le matelas de fortune qu'il avait créé.

Serait-ce possible que cet inconnu ne lui veuille aucun mal ? Serait-il possible qu'une personne qui ne le connaisse pas lui vienne en aide sans rien lui demander ? Cela lui semblait tellement surréaliste qu'il ne put s'empêcher de penser qu'il rêvait. Mais l'humain, ou du moins la "personne" s'éloigna pour disparaître. Il ouvrit un oeil, à peine reposé, mais il était vraiment seul dans le fond de la grotte. Il en profita alors pour se reposer, avant d'entendre le craquement des pas du mystérieux sauveur. Il n'ouvrit pas les paupières, le laissant poser ce qui sentait comme de la nourriture et du tissu non-loin de lui. Puis il le sentit s'approcher. Moins méfiant, il alla même jusqu'à se laisser toucher, et même soigner sans rechigner. Une grande première, quelqu'un pouvait toucher son corps sans finir déchiqueté. Il sentait l'individu déposer une sorte de pommade sur son corps, l'aidant à se régénérer plus facilement au niveau des plaies les plus graves. Rapidement, il le sentit s'éloigner et seulement là il s'autorisa à l'observer.

Un brun, jeune, qui dégageait des odeurs différentes. Mais il n'était pas encore suffisamment en forme pour déterminer ce qu'il était. Il ne le détailla pas plus que ça, se contentant de poser ses yeux sur la nourriture. Une toute nouvelle énergie s'empara de lui, et il parvint à se lever sur ses pattes pour se traîner jusqu'à la nourriture. Son museau s'engouffra dans la bouffe qu'il avala sans même vérifier que ce n'était pas empoisonné. Son dernier repas, ou du moins la dernière fois qu'il avait avalé quelque chose de solide, remontait à l'avant-veille. Il dévora le repas, et vida le plat d'eau en quelques minutes, avant de poser son regard suir l'homme. Se focalisant sur les différentes ondes qu'il y avait autour de lui, notamment les téléphones des promeneurs environnants, il parvint à faire entendre un vague message lointain :

Merci.
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