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Les De Wistan aux portes du manoir...

Forks Volterra :: Archives :: Corbeille

Eurydice de Wistan

Rang Image : Les De Wistan aux portes du manoir... Ckj1

Rang Personnalisé : Membre

Race : Non validé•e

Messages : 41

Âge : On ne demande pas l'âge d'une dame mais plusieurs siècles sont à mon actif

Amour(s) : J'aime la chair

Emploi/Loisirs : Reine, rien que ça

Don : En mordant les humains elle peut évaluer leur potentiel de futur don. Et quand il s'agit d'un vampire elle peut connaître précisément leur don.

Disponibilités rp : Libre

Multi(s) Compte(s) : Edward notamment

#1
Dim 15 Nov 2009, 22:55

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Eurydice venait de dîner, comme à son habitude sa passion l'avait rendue déchaînée et sa robe était tachetée de sang. D'un geste expert elle laissa glisser sa tenue le long de ses hanches la laissant dans son plus simple apparat. Elle était tant excitée qu'elle ne tenait plus en place, ses malles étaient d'ores et déjà prêtes, le départ était proche. En effet, elle et ses frères, ses deux derniers ne voulant pas la laisser voyager seule, partaient pour Volterra. Pourquoi donc vous demanderiez vous ? Parce qu'y résidez Heidi, sa plus vieille amie qu'elle n'avait pas vu depuis quelques temps déjà et elles avaient convenu de profiter l'une de l'autre avant que leurs obligations respectives ne puissent les empêcher de se mouvoir à volonté car des changements révolutionnaires allaient s'opérer mais cela elle seule en avait la confidence. De plus c'était la première fois qu'elles se voyaient au manoir et n'avait donc jamais rencontré Aro, celui dont lui parlait tant son amie. A ses dires, elle devrait le trouver à son goût et ses centres d'intérêt étaient similaires aux siens mais elle ne se contenterait pas de ce maître, elle comptait bien tester les « talents » masculins de tout Volterra non en déplaise à Jeffrey...Qu'il pouvait être rabat joie celui là, contre le progrès et la libéralisation des moeurs, il désapprouvait les moindres faits et gestes de sa soeur cadette, quant à Duncan là cela était d'un tout autre ordre, ils étaient très proche, complice même dans l'intimité et à vrai dire surtout dans l'intimité....Elle se dirigea vers sa penderie elle hésitait encore entre deux tenues, elle voulait être absolument divine à l'image d'Heidi et finit par opter par une robe pourpre couleur magnifiant ses prunelles de couleur similaire, faite en un tissu des plus légers et d'une transparence légère laissant juste dévoiler toutes ses courbes pleines et harmonieuses. Elle peigna ses lèvres d'un rouge carmin soutenu et souligna ses yeux amandes d'un trait d'eye liner puis lâcha sa longue chevelure noir ébène dévalant le long de sa croupe appétissante. Après avoir enfilé ses escarpins favoris elle était enfin prête, sexy et endiablée, que les mâles de Volterra se prépare à sa venue.

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Le voyage fut long non pas que la distance en eut été la cause mais elle et ses frères en profitèrent pour virevolter de villes en villes, perpétuant massacres et désolations. Plus Eurydice se rapprochait de Volterra plus elle sentait une excitation grandissante naître en son esprit, son corps n'étant pas en reste, il réclamait les caresses de son amie, leurs échanges étant tant inoubliables et d'une sensualité inégalable. De plus elle souhaitait faire la connaissance de celui qui était qualifié par Heidi de « pure merveille ». A ses dires plus vicieux il ne pouvait exister et meilleur amant il l'était de loin et au vu du nombre de partenaires de cette dernière elle la croyait sur parole. Le manoir regorgeait d'esprits tortueux, d'êtres à leur trempe et cela elle l'espérait au plus au point. Jouissance allait être le maître mot de leur séjour, elle sentait déjà le fouet s'abattre sur ses fesses offertes, elle l'entendait claquer lorsqu'il entrait en contact avec sa chair et elle s'entendait encore gémir de plaisir. À ses douces réminiscences des frissons l'envahirent, de plus elle n'était pas venue les mains vides, elle avait fait le tour de sa propre salle de torture pour dénicher de merveilleux présents qui raviraient Heidi. Elles allaient jouer ensemble comme deux petites filles à la poupée sauf que les participants seraient de ce qu'il y avait de plus vivant. Humains, vampires, qu'importait leur condition personne ne serait épargné, de même que leur sexe, homme ou femme n'avait aucune strict importance. Ses images délectables furent remplacées à la vue de l'imposante façade s'étant dressée devant elle. Le tant célèbre manoir des Volturi, lieu de dépravation ultime, que ces habitants se préparent car le duo le plus terrible que la terre eut connue allait être de nouveau réunit.

Invité

#2
Lun 16 Nov 2009, 22:24

Invité

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Enfin ! Le manoir Volturi se découpait dans un ciel si bleu qu'Edwin en avait la nausée. Cette chaleur ne lui était pas habituelle, lui si souvent amusé par les tourments de son pays, par le vent et la pluie froide qui chassaient les humains, rendaient leur nature plus rustre et leur peau plus ferme et résistante quand, malgré tout, leur sang perlait…
Il n’était donc pas certain d’y trouver son content en terme de proies. Néanmoins, il savait qu’il ne manquerait pas de s’y amuser. Il y avait tant de vampires aux mœurs particulières ici. Tant de haine distillée dans des plaisirs qu’il avait hâte de découvrir.
Certes, son corps réclamait un torrent d’abandons sensuels mais par ailleurs, il n’était pas sans espérer y rencontrer la femme qui pourrait être digne de sa contrée. Depuis des siècles, il cherchait l’être suffisamment belle et vertueuse à sa façon d’immortelle sanguinaire, qu’il pourrait emmener avec lui, aimer par-dessus tout, chérir, offrir la prospérité requise. Il n’était pas sans l’espoir qu’un jour lui vienne une descendance. Il avait bien essayé d’engrosser des humaines. Mais à chaque fois, n’avait pu résister à leur sang… Ici à Volterra, allait-il peut-être rencontrer celle qu’il attendait ?
Il jeta un œil à sa sœur Euridyce. Ses seins épais étaient presque visibles dans sa robe si ouverte. Il ne pouvait lui reprocher sa désinvolture, elle était libre dès lors. Pourtant, il ne la trouvait pas digne. Pas représentante des leurs. Il ne souffla mot. Si elle n’avait pas été sa sœur, n’aurait-il pas été tenté par sa chair si suave ?
Décidément, il reporta son attention sur l’immense bâtisse qu’ils abordaient. Il avait hâte de rencontrer cette Heidi dont sa sœur n’avait de cesse de parler. Ses mots et cette ferveur dans les yeux de sa parente l’avait mis en appétit. Et c’est avec une flamme au creux des reins qu’il s’avança dans l’antre de leurs nouveaux amis.

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