Vous auriez du pain?Alice va nourrir les canards au parc...

Dans la nuit Orlando avait rencontré trois gardes des Volturis car cette nuit Orlando c'était amusé a joué avec le tonnerre et les éclaires "c'est son pouvoir de contrôlé la météo" et il avait vu arriver plusieurs vampires. Il avait passer toute la nuit a parler avec eux mais il avait senti entre deux gardes une certaine tension qui ne c'était pas dégradé car il y avait eu leurs supérieur Jane, on lui avait déjà parler des Volturis qui était tous méchant, égoïste etc... Mais quand il avait rencontré Jane elle avait été gentille a sa façon enfin bref....

Ce matin la Orlando voulu aller a Volterra pour rencontré de nouveaux vampires, il pris sa voiture de Location une Mustang GT toute neuve et roula a vive allure dans Volterra pour arriver devant l'immense manoir des Rois de vampires. Il sorti de sa voiture, il était habillé d'un simple pantalon blanc en soie, d'une chemise noir et des chaussures blanche. Il commença a marcher vers le manoir, le vent fessait flotté ses vêtements, toutes les humaines sur la place le regardait avec convoitise et les hommes avec jalousie.

Quand il arriva devant le portail il sauta part dessus en effaçant son odeur garce au vent qu'il créa lui même, tout d'un coup il senti sa gorge le brulé et senti l'odeur d'une vampire dans le parc, il alla a sa rencontre pour voir si c'était Jane mais il tomba sur une autre vampire qui était brune, petite mais très canon. Il s'approcha d'elle a l'allure vampirique et s'arrêta devant la vampire

Bonjour Dit Orlando d'une voix chaude et enchanteresse. Il remarqua que le soleil allait arriver donc il fit apparaitre de gros nuage pour le cacher. Puis il repris : Veuillez m'excusez je me suis pas présenté je m'appelle Orlando Paloni Termina le vampire d'une voix sensuel

Soudain Alice entendit un vampire approcher. Naturellement, elle se raidit. Qui allait encore s’attaquer à sa détresse ?
Lorsqu’elle leva les yeux, elle découvrit un splendide visage dont les yeux d’or la fixaient avec une curiosité polie. Il la salua avant de se présenter.
Orlando Paloni. Ce nom ne lui disait absolument rien. Néanmoins, il était végétarien, son regard brillant de miel lui donnait cette assurance qui la rassura instantanément. Elle lui adressa un semblant de sourire.

-Heu…Bonjour, je suis Alice Cullen.

Il semblait ici de son plein grès, elle en fut surprise. Quel vampire végétarien pouvait apprécier les Volturi ? Elle songea à Carlisle qui les avait fréquentés pendant un temps… Et décida donc de ne pas le juger trop vite.
Alice se rendit compte qu’elle avait entrainée dans sa chute des bouts de verre et que certains étaient encore plantés dans sa peau, avec une mine d’excuse elle les ôta prestement, retenant des grimaces de douleurs.

-Pardonnez moi, cela ne me regarde peut-être pas, dit-elle enfin à l’adresse d’Orlando, que faites vous à Volterra ?

Orlando regarda discrètement la vampire qui lui fessait face, elle était très belle on pouvait même dire sublime, sa peau de marbre blanc lui allait a merveille. Il avait déjà rencontré des vampirettes dans sa vie de vampire et des très belle aussi mais il n'avait jamais été plus loin que de simple relation. Orlando pouvait voir sur le visage de la vampire de la surprise puis elle lui fit un petit sourire en lui disant bonjour et en ce présentant sous le nom d'Alice Cullen. Le vampire tiqua mentalement sur le nom de famille, il avait déjà entendu plusieurs fois au cour de ses voyages ce nom de clan car ils ce comportait comme si ils étaient tous une famille e ils étaient aussi végétarien, Orlando vit Alice retiré des bouts de verres dans sa peau avec plusieurs grimaces de douleurs.

Elle reporta son attention sur le vampire en lui demandant ce qu'il fessait ici a Volterra. Orlando s'approcha de la jeune femme et vit que ses vêtements était déchiré part endroit, on pouvait voir un peut sa poitrine qui la rendait très désirable, on pouvait aussi voir que le pantalon d'Alice était aussi déchiré ce qui lui donna l'eau a la bouche (enfin façon de parler). On pouvait voir dans les yeux du vampire une flemme de désir mais il ce secoua la tête comme pour essayer de chasser ses pensés très déplacer

Ne vous excusez pas Miss Cullen Dit Orlando d'une voix qui voulait être neutre mais on pouvait sentir de l'envie et du désir. Il essaya de ce reprendre encore une fois. Je suis ici car j'avait envie de visité ce manoir et ses alentours Termina Orlando d'une voix peut métrisé. Il remarqua qu'il restait quelques bout de verre sur la peau d'Alice donc il s'avança vers elle puis s'arrêta a moins de deux centimètres et lui retira lentement et le plus doucement possible les bout de verre

Alice se sentait observée. Les yeux d’Orlando se faisaient inquisiteurs sur son corps. Elle frémit mal à l’aise tandis qu’il répondait à sa question.

Venu visiter Volterra ? Ce n’était pas le genre de vacances qu’Alice se serait autorisée. Soudain ce regard lourd, ce visage clair et radieux, la fixant comme pour la dévorer, lui fût comme une révélation. Il venait ici pour s’amuser. Profiter de l’air badin, et tout autant cruelle, de Volterra pour s’oublier.
Cette idée l’écœura. Comment pouvait-on aimer cette ambiance nimbée de vice ? Comment pouvait-on approcher des sanguinaires, prêts à torturer les humains juste par plaisir ?

Elle baissa les yeux, émue soudain au souvenir de sa famille qu’elle n’avait plus l’espoir de revoir et du sombre vide qui pesait sur son cœur, ou du moins, ce qui avait été son cœur autrefois.

Orlando s’approcha pour extraire de sa peau des morceaux de verre oubliés. Surprise de se contact, Alice sursauta et croisa le regard éblouissant de l’inconnu. Le désir évident du vampire faisait luire ses pupilles. Sa beauté indéniable était renversante. Alice s’autorisa, l’espace d’un battement de cil, à s’imaginer dans ses bras, à oublier la douleur et la solitude contre ce torse massive et clair, à fermer les yeux et à se laisser aimer. Ainsi, ce court instant, tout semblait disparaitre, souffrance, remord et douleur… Mais le visage de Jasper s’imposa à elle… Jamais amour plus fort ne l’avait envahie. Elle s’était donnée à lui et rien qu’à lui, et même si l’éternité les séparerait, elle ne pourrait s’en défaire.
Elle se recula d’un pas et affronta ce regard intense qui n’était pas sans la séduire pour autant.

-Je crois que vous faites erreur, déclara-t-elle d’une voix endolorie, je ne suis pas ici par plaisir, contrairement à vous. J’ai horreur de cet endroit. Horreur des Volturi. Je suis prisonnière, et mon plus cher désir à l’heure qu’il est…c’est de mourir.

Orlando retira doucement les bout de verre qui était planter dans la peau de la vampire qui recula d'un pas assez rapidement comme si elle avait eu un coup de décharge électrique. Elle le regarda droit dans les yeux en lui disant qu'il fessait erreur car elle n'était pas ici pour le plaisir mais qu'elle était prisonnière et qu'elle voulait mourir. Il la regarda et ce rendit compte qu'elle avait capté son regard plein de désir pour elle, il passa une main dans ses cheveux car c'était un tic quand il avait été humain quand il était mal a l'aise. Il baissa les yeux et les remonta en la regardant

Veuillez m'excusez de mon comportement Miss Cullen je ne voulait pas vous froissez Répondit Orlando d'une voix douce. Je ne savait pas votre condition mais comment pouvez vous vouloir mourir? Continua le vampire avec la même voix. Vous pouvez vous enfuir je pourrait même vous aidez si vous le souhaitez mais de la a mourir faut pas avoir ses idées là. Et puis vous êtes sublime, notre immortalité est pour la testé apprendre de nouvelle chose , de profité de la vie a pleine dent Dit Orlando avec un regard tendre et compatissant. Il regarda alternativement l'état de vêtement d'Alice et alla a la vitesse vampirique cherché une veste dans sa voiture puis il alla rejoindre la jeune femme et lui passa.

Vous pouvez la gardez Miss Cullen j'en ai pas besoin Dit t'il en lui tendant sa veste. Il invita la vampire avec un geste de la main a s'assoir dans l'herbe. Dite moi comment vous en etes arriver là Dit Orlando en lui montrant l'état de ses vêtement et pour son histoire.

Orlanda se précipita en excuse et tenta de la convaincre du bien fondé de leur existence se qui déclencha un rictus désabusé sur le visage de la jeune vampire. Enfin, il s’évapora presque tellement il disparut rapidement pour apporter une veste à Alice.
Cette dernière prit conscience de l’état laborieux de ses vêtements et accepta la veste autour de ses épaules comme un réconfort. L’odeur qui s’en dégageait était si agréable qu’elle se sentit aussitôt mieux sans savoir pourquoi.

Alice acquiesça d’un sourire lorsqu’il l’invita à s’asseoir. Elle le rejoint sur l’herbe chaude, le cœur en friche.

-Merci, murmura-t-elle pour la veste et le réconfort qu’il lui prodiguait. Je ne sais pas comment vous raconter mon histoire. J’étais mariée, j’étais heureuse, et puis les Volturi ont enlevée l’une des nôtres, ma nièce, une hybride, mi-vampire, mi-humaine. Pour la récupérer ils ont exigés un échange. Mon frère, Edward, et moi. Ce sont nos pouvoirs qui les intéressaient. Ma nièce a pu retrouver son foyer, mais nous sommes désormais prisonniers pour un temps indéfini. Heidi me menace…elle joue avec moi. Et Edward s’est déjà fait torturé, ou il ne tardera pas à l’être d’après mes visions.

Elle reprit son souffle, bien qu’elle n’en avait pas besoin elle se sentait si meurtrie qu’elle avait besoin de temps.

-Vous parliez de m’aider à sortir d’ici … je vous remercie pour votre sollicitude, mais c’est la dernière chose à faire… Les Volturi vous tueraient…me tueraient…et se vengeraient sur ma famille. Vous n’imaginez pas comme ils sont odieux.

Elle griffa machinalement le sol de ses doigts en sentant toute la haine qu’elle ressentait à l’adresse de ce clan sans pitié.

-Vous devriez partir, ajouta-t-elle en levant les yeux vers Orlando, vous êtes un vampire végétarien… ils ne tarderont pas à vous mépriser…et qui sait s’ils ne souhaiteront pas s’amuser avec vous …

Orlando c'était assit dans l'herbe, Alice le suivit a la seconde qui suivait puis elle commença son histoire, elle avait été mariée et en avait été heureuse mais les volturis avait enlever sa nièce mi humaine-mi vampire une hybride puis en échange de sa liberté elle devait elle et son frère Edward aller ici a Volterra car ils avait tous les deux des pouvoirs interraissant et qu'une vampire nommée Heidi la menaçait, qu'elle jouait avec elle et que son frère ce fessait ou allait ce faire torturé. Elle lui dit aussi qu'elle le remerciait si il aurait pu la sauver mais elle ne pouvait pas car sinon sa famille mourait et le tuerait car il était vraiment méchant.

Orlando la vit gratter le sol avec ses doigts avec tant de haine et de mépris pour les Volturi que sa lui fessait mal a son cœur mort, elle releva les yeux vers lui en lui annonçant qu'il devait partir car sinon les Volturis pourrait bien le tuer ou sinon qu'ils s'amuserait avec lui. Orlando la regarda et éclata de rire joyeux de bonne humeur. Il ce calma pour ne pas vexer la vampire.

Votre histoire me touche Miss Cullen mais ne vous inquiété pas pour moi je sais très bien me défendre. Dit Orlando en reprenant son sérieux. Je vais vous avoué que j'ai aussi un pouvoir je peut contrôlé la météo a ma guise, vous avez du entendre la nuit dernière le tonnerre éclaté non? Et bien c'était moi je m'amusait Continua Orlando en souriant. Il la regarda dans les yeux puis avec sa main il replaça une mèche qui était devant le fond derrière l'oreille d'Alice tendrement.

Vous servez vous êtes peut être prisonnière et loin de votre famille, vous êtes sublime, même très ravissante vous pouvez faire tant de chose. Dit Orlando d'une voix sincère. Puis il reveni sur une phrase qu'il l'avait fait tiqué Vous avez dit que vous aviez été mariée ce n'est plus le cas? demanda Orlando gentiment

Orlando écouta Alice avec une grande attention doublée d’une compassion qui lui semblait naturelle bien qu’Alice le soupçonna d’avoir des idées dernière la tête.

Mais elle se retint une fois de plus de le juger. Il se mit à rire en parlant des volturi. Il ne les craignait peut-être pas, mais Alice si. Il semblait inconscient. Cela l’agaça. Elle n’était pas comme lui. Elle avait désormais trop souffert pour se sentir légère comme elle avait pu l’être autrefois. Car avant, tout semblait si simple pour elle, elle passait son temps à rire et à penser à ses vêtements. Aujourd’hui, tout n’était qu’amertume et douleur.

Elle frissonna bien qu’elle n’eût pas froid, elle se sentait glacée, glacée de l’intérieur. Orlando parla de son pouvoir, Alice le regarda avec intérêt. S’il ne pouvait guère comprendre son tourment, il pouvait au moins lui changer les idées, elle décida de s’en faire une raison, et d’en profiter autant qu’elle pu pour se sentir si ce n’est mieux, moins mal.

-C’est un pouvoir merveilleux, concéda-t-elle avec un demi sourire.
Depuis combien de temps n’avait-elle pas sourit ?
Elle n’arrivait plus à s’en souvenir. Son dernier sourire avait été pour Jasper. Soudain, elle sentit les doigts d’Orlando s’attarder sur son visage pour replacer une mèche de cheveux derrière son oreille. Ce geste la fit frissonner, elle avala difficilement sa salive en le regardant à contre cœur.
Il venait de lui dire qu’elle était jolie ou elle avait rêvé ?
Ensuite il revint sur ce qu’elle avait dit.

-…je parlais au passé, avoua Alice après un temps de réflexion, car j’ai l’impression que ce temps merveilleux est révolu, j’essaye de me détacher de ceux que j’aimais, pour mieux les protéger. Vous comprenez…j’ai des visions. Si jamais ils organisaient quelque chose pour me libérer, je risquerais de le voir et Aro pourrait le savoir par mon intermédiaire, il lui suffirait de lire en moi. Par conséquent, j’essaye de me détacher des miens et de ne jamais penser à eux pour ne pas avoir de vision d’eux. Mais reste que je suis mariée, je le serais toujours, et j’aimerais toujours mon mari.

Sur ce, elle baissa la tête, si elle avait pu pleurer, son visage aurait été inondé.